1. Graisse de Canard


    Datte: 19/09/2019, Catégories: Lesbienne

    Le président de la cour d'assises a ouvert la séance. -L'audience va reprendre. Faites entrer le Jury! Mesdames et messieurs, levez-vous. Les six membres du jury, trois femmes et trois hommes, sont entrés solennellement. - Vous pouvez vous asseoir. Faites entrer l'accusée! Deux policiers ont introduit Myriam Brunot dans la salle d'audience. Murmures et sifflets dans la salle. -J'exige le silence total. A la moindre manifestation, je fais évacuer la salle et l'audience se tiendra à huis-clos. Mademoiselle Brunot, vous avez la parole, sans limitation de temps, pour exposer au jury votre situation familiale et les circonstances de votre acte. Venez s'il vous plaît vous installer à la barre. Vous resterez debout, comme c'est l'usage. Myriam a débuté son récit. Mon père était très autoritaire et violent. Avec ses enfants, c'est-à-dire moi-même et mon demi-frère Antoine. Ma mère est morte dans un accident il y a douze ans et Antoine, 9 ans, est le fils de sa seconde femme, Ingrid, d'origine danoise. Il était autoritaire et violent avec Ingrid et avec la domestique Josepha, une belle jeune femme de 19 ans, qui avait perdu ses parents dans le crash du Rio-Paris, en 2009, bien avant de finir ses études. Il n'hésitait pas à les frapper. Il ne me frappait pas, j'expliquerai bientôt pourquoi, ni Antoine. C'était un garçon carrément pourri. Son père lui passait tout, il voulait en faire un macho, comme lui. Il exigeait que Josepha fasse le ménage avec une jupe plissée bleu-marine, ...
    ... tellement courte que dès qu'elle se penchait un peu en passant l'aspirateur, on apercevait ses fesses nues et les poils de son sexe. Elle devait se coiffer comme une gamine, avec des couettes, et porter des bas résille qui lui montaient à mi-cuisses. Une tenue de prostituée mineure. Dès qu'elle passait à sa portée, il lui tripotait les seins qui devaient ballotter librement sous un tee-shirt bien décolleté et lui pinçait très fort les tétons. Il lui mettait la main aux fesses et lui maniait brutalement le sexe jusqu'à ce qu'elle pousse un cri de douleur, un cri qui le faisait éclater de rire. Et tout cela devant nous trois. Ingrid, rouge de confusion, n'osait pas intervenir, honteuse de sa faiblesse chaque jour plus manifeste. De plus elle parle assez mal le français. Antoine n'en perdait pas une miette et riait du même rire gras et obscène que son père. Et même devant des visiteurs. Souvent, le soir, Josepha quittait sa chambre et venait me raconter en pleurs les dernières avanies subies. Et notamment le rituel de la graisse de canard. Mon père l'apostrophait : « Graisse de canard, ton cul est prêt? » Elle devait s'enduire l'anus de graisse de canard, et se pencher sur la table de cuisine, les seins écrasés sur le bois, même si la table était encore sale, pour permettre à mon père de la sodomiser. Je nettoyais la graisse mêlée de sperme et de vilaines traînées brunes qui lui coulait sur les cuisses. Toute nue contre moi, elle venait chercher du réconfort dans un échange de caresses ...
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