1. Songes d'un voyage en bus


    Datte: 19/09/2019, Catégories: fh, jeunes, inconnu, hotel, boitenuit, danser, douche, cérébral, Oral pénétratio, hdanus, journal, totalsexe, occasion,

    La nuit est fraîche. Déjà l’automne s’annonce. Il est à peine dix-neuf heures et le ciel est d’un noir d’encre. Seule une quinzaine de passagers occupe l’autobus. On peut distinguer les silhouettes, mais à quoi bon puisque toutes sont d’un ennui mortel… Le calme qui y règne est en totale contradiction avec mon état intérieur. Depuis quelque temps, je me sens insatiable. Je ne pense qu’au sexe, je ne vis que de sexe et je ne rêve que de sexe. Comme s’il me manquait quelque chose. Je me sens incomplète. Mes pensées errent. Mon intimité a encore l’impression d’avoir en elle le sexe qui y était présent il y a une heure. Une douche rapide avant de partir pour Québec. L’eau ruisselait sur nos corps entremêlés, d’une sensualité sans pareille. Le contact de mes mains savonnées sur son cou glissait doucement vers son torse, sentant chacun de ses muscles sous ma caresse. Puis est venu le moment où mes mains se sont dirigées vers son pubis. Je voyais déjà son sexe se distendre doucement, anticipant où cela nous mènerait. Encouragée, j’ai alors glissé la paume de ma main le long de son sexe, enduisant de savon chaque parcelle. L’excitation était alors à son comble. Lui qui appréciait sentir le va-et-vient de plus en plus explicite, moi qui étais vraiment allumée par la vue d’un si beau membre gorgé de mousse. Le rose de son sexe contrastait délicieusement avec la blancheur du savon. Son sexe décalotté laissait entrevoir son gland bien proportionné. Malgré le plaisir que je retirais de ...
    ... cette magnifique vue, je l’ai fait se retourner face au jet de douche et me suis placée derrière lui. J’ai plaqué alors ma poitrine contre son dos musclé et j’ai continué ma lente masturbation. Tout en le mordant dans le cou, j’ai glissé mon autre main le long de son échine, malaxé son cul si joliment rebondi. Le savon m’aidait à glisser un premier doigt vers son petit trou. Je sais comment cette caresse le fait grimper, mais j’aime le préparer doucement, glissant le long de sa raie et appuyant avec de plus en plus d’insistance. C’est seulement au moment où j’ai senti ses spasmes que j’ai enfin fait pénétrer mon doigt. Quelques centimètres à peine ont suffi à faire encore durcir une queue déjà si ferme l’instant d’avant. Ses ondulations de bassin m’ont signifié son désir que j’accélère la cadence. Ce que j’ai fait, tout en augmentant l’amplitude de mes mouvements contre sa verge. Il a tourné alors sa tête, cherchant mes lèvres, que je lui ai données avec plaisir. Je me suis faite intense en mordant gentiment sa lèvre inférieure et en ajoutant un deuxième doigt dans son trou. Je l’ai entendu alors gémir et j’ai appuyé fortement vers le bas, tout en serrant très fermement son sexe alors qu’il s’est mis à éjaculer contre la céramique blanche de la douche. C’est alors qu’il s’est retourné pour m’embrasser avec fougue. Après s’être rincé vint mon tour. Il m’a lavée avec une telle attention, m’aidant même à me rincer sous le jet d’eau qui se faisait plus froid. Rapidement mes tétons ...
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