1. Tes yeux , mon âme


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, Collègues / Travail école, amour, revede, pénétratio, init, amourdura, initfh,

    Mon histoire est assez particulière, condamnable même pour certains d’entre vous. Cette histoire d’amour dure toujours, et nos attirances l’un envers l’autre sont toujours aussi intenses. Je n’oublierai jamais la première fois que nos corps se sont emmêlés, elle est gravée à jamais au plus profond de moi-même. Grâce à lui, Monsieur B… Mais commençons par le commencement… Ma première année à l’université. Avec d’immenses changements, ma majorité, mon appartement seule, l’éloignement de ma ville natale et de ma famille que j’ai dans un premier temps très mal vécu. Je me sentais seule dans cette grande ville, sans personne à qui parler. J’ai donc passé ma rentrée dans un état proche de la dépression. Au fil du temps, j’ai appris à connaître des personnes qui, par la suite, sont devenues mes amies, et une en particulier, ma meilleure amie. J’étais dans une filière où il n’y avait pas beaucoup d’étudiants, une filière de langue, les relations avec les professeurs étaient donc assez proches (j’entends par là que les profs étaient capables de se rappeler de nos prénoms… Incroyable pour un prof de fac !) Je suppose qu’à partir de maintenant vous voyez où je veux en venir… Enfin bref. Pour le coup, lui je ne l’avais pas remarqué. Au début, c’était un prof comme un autre, avec ses cours parfois ennuyeux. Et bien évidemment, né à l’étranger, il a refait sa vie ici en France, d’où son léger accent quand il parle… Il faisait de l’effet en général à toutes les filles, pas parce qu’il ...
    ... était beau, mais parce qu’il était… disons qu’on remarquait qu’il avait une anatomie plutôt avantageuse, et qu’il en jouait, et même le plus large des pantalons ne le désavantageait pas. Il avait des mouvements de hanches à faire pâlir la plus frigide des filles… Enfin bref, je vous passe les détails sur les heures que j’ai passées à fixer les arbres dehors par la fenêtre pendant ses cours, pour masquer mon trouble… De plus, je l’avais en traduction, et il était réputé pour donner des textes assez chauds à traduire… Et ça n’a pas loupé ! Les extraits étaient de véritables textes érotiques, ce qui nous faisait beaucoup rire pendant les corrections. Il ajoutait parfois des petits commentaires assez coquins… mais ça restait bien entendu dans le domaine du correct. Une troisième année nous a même raconté qu’une fois, lors d’un examen à l’oral, il avait interrogé une pauvre fille sur le sens du mot « jouir » avec un grand sourire… Bref, ça se voyait qu’il était un homme qui aimait vraiment les femmes, et qui adorait surtout déstabiliser, mais je ne pense pas qu’il multipliait les conquêtes. En effet, j’ai appris plus tard qu’il habitait dans la capitale, qu’il était accompagné et avait même des enfants. Je ne m’intéressais pas plus que ça à lui. De mon côté, ma vie amoureuse était plutôt plate, je venais de rompre avec un copain que j’avais rencontré dans une soirée et qui ne me plaisait pas vraiment. J’avais 18 ans, et j’étais toujours vierge. Ma situation commençait à me tracasser, ...
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