1. Saga familialle ( Suite 3)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: A dormir debout,

    Le fille de Fanette née en 1940, Juliette, se retrouve étudiante Paris en 1968. Année mémorable pour la libération des mœurs. Juliette en profite comme jamais: elle a découvert le plaisir quand elle n'avait qu'une quinzaine d'année en se masturbant, comme sa mère dans la baignoire. Là, maintenant tout est possible, elle n'est plus vierge depuis ses années de lycée. En dernière de préparation au notariat elle se sent prête à conquérir le monde, sinon le monde au moins le plus de sexe possible. Elle occupe le studio que ses parent ont acheté: c'est plus simple pour elle que de venir tous les jours de Versailles. Elle n'habite pas loin des lieux de manifs. Si au début elle se tenait assez loin elle s'en approchait par curiosité. Juliette rencontrait un garçon de son âge, joli garçon, bien proportionné et semble-t-il bien pourvu par dame nature. Entre deux charges de C.R.S. ils se retrouvaient embrassées. Leurs lèvres ne se quittaient pratiquement pas. Juliette, bien "chauffée" l'emmenait chez elle. Sans tarder, il l'embrassait longuement. Excitée et pleine d'envie, elle lui sortait la bite pour la caresser. Pour une première fois entre eux deux, c'est elle qui le cherchait. Elle faisait plus que caresser lentement comme pour faire une découverte. Elle savait depuis longtemps comment réagissait un homme à qui on tient la queue. Il bandait de plus en plus. Elle le branlait tout en sachant qu'après l'orgasme, sa bite ne voudrait plus rien pendant un moment; accélérant les vas et ...
    ... viens en attendant qu'il jouisse. Juste avant qu'il gicle, elle lui prenait la pine en bouche pour récolter le sperme. Toujours en pointe elle le déshabillait, lui embrassait les seins, lui caresser les fesses, avant de le voir bander à nouveau. Nue à son tour, elle s'offrait à lui: elle tendait son bas ventre contre le sien. Elle se frottait à lui pour bien sentir la bite en érection. Elle pouvait encore le faire jouir en continuant un moment ainsi. Elle avait besoin de sa queue dans son sexe. Elle l'entraînait sur le lit où elle se laissait tomber jambes bien ouvertes. Elle tendait ses bras pour qu'il vienne vite la posséder. Enfin elle recevait ce corps sur le sien, sa moule bien béante voulait avaler la queue de cet amant. Enfin, elle pouvait pousser un soupir de soulagement: il la lui mettait bien profond, comme elle aimait. Elle sentait le sexe aller et venir en elle. Elle fermait les yeux pour ne profiter que d'une seule chose: cette chose masculine en elle. Elle jouissait longuement plusieurs fois jusqu'au moment où il lui donnait le reste de sperme de ses couilles. Un des jours suivant elle rencontrait encore un garçon plus âgée qu'elle. Il lui semblait qu'il devait savoir des nouvelles façons de baiser. Il en connaissait, par forcément toutes du goût de Juliette. Elle acceptait avec plaisir la sodomie, Elle prisait moins le faire se faire baisser devant lui par une autre fille. Elle en jouissait, tout en préférant une bonne bite. Plus tard, les événements terminés ...
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