La fin du monde ?
Datte: 21/09/2019,
Catégories:
fh,
grp,
jeunes,
couple,
extracon,
copains,
Collègues / Travail
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
attache,
piquepince,
entrecoup,
... nuit…— Laurent, par exemple ?— S’il faisait l’amour avec moi, je crois bien que j’aurais beaucoup de mal à te le rendre ensuite : je suis pas mal possessive. Pareil pour les deux autres garçons ici présents, d’ailleurs. Et je t’ai déjà parlé de la paix des ménages…— Je t’ai répondu de ne pas t’en soucier. Quand nous aurons fini nos achats, Isabelle, tu seras dans ma chambre, nue, attachée sur le lit, bras et jambes écartés, dans le noir absolu. Les garçons iront te rejoindre, un par un. Il y a des capotes à côté de la lampe de chevet. D’accord, Isabelle ?— Mais pourquoi attachée ?— Parce que moi j’adore que Laurent m’attache dans le noir, et j’espère toujours qu’il fera venir quelqu’un.— Il ne le fait jamais ?— Jamais, jamais encore, hélas ! C’est en riant légèrement que je prononce ces paroles. Je plaisante, bien sûr. Enfin… quand je suis écartelée sur le lit, il m’arrive parfois d’espérer que Laurent ouvrira la porte à quelque inconnu… — Je ne veux pas être attachée, affirme Isabelle. Je veux participer.— Comme tu voudras.— Bon, alors si vous vous dépêchiez un peu de choisir, maintenant ?— Bien sûr ! Montre quelque chose à Vincent ; je dois aller avec lui passer l’ensemble que tu m’as montré. Il choisit un boxer noir. Avant de m’accompagner, il regarde Caroline, comme pour solliciter une autorisation. Elle se contente de hausser les épaules et, ostensiblement, abaisse son regard sur le bas-ventre de Laurent qui bande encore, évidemment, et peut-être même plus fort en ...
... pensant que je vais passer cinq minutes avec Vincent. Je le connais, mon Laurent… À peine arrivé dans la chambre, Vincent jette sur une chaise son pull-over, sa chemise et son jean. Pour enlever son slip, il me tourne le dos. Jolies fesses ! Je l’ai toujours trouvé très mignon, ce garçon. — Viens m’aider à dégrafer mon soutif, Vincent ! Il ne bande qu’à peine, je suis déçue. Il vient derrière moi, me débarrasse de mon soutien-gorge que ses mains remplacent aussitôt sur mes seins, et colle son bas-ventre contre mes fesses. — Finis donc de me déshabiller ! Jupe et petite culotte tombent sur le sol. Puis il me fait face. Cette fois, il bande ferme. Il picore un peu la pointe de mes seins. Sa main droite cherche mon clitoris. — Pas maintenant, Vincent ! Ne m’excite pas, je ne veux pas jouir trop vite. Il ne m’écoute pas. Le voilà à genoux, sa langue dans ma fente. Il lèche, suce mon clito, l’aspire. Je prends ses tempes entre mes paumes, je ne veux surtout pas qu’il s’arrête. Quel adorable garçon ! Je le sucerais bien ensuite pour le remercier mais un coup d’œil à ma montre m’indique que quatre minutes se sont déjà écoulées. Ô temps, tu aurais dû suspendre ton vol… — Prends ton boxer, Vincent. Et… merci ! J’ai beaucoup aimé. Je te revaudrai ça. Agrafe mon soutif. Tu crois que j’ai le temps de mettre le porte-jarretelles ?— Ce serait trop dommage de ne pas le faire… Il est un peu de travers, attends. Ça se voit que je bande ?— Beaucoup. Laisse-moi palper un peu.— Pas trop, sinon je vais ...