1. C'est ça qui m'a rendu gay


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Mon père était militaire de carrière dans l'armée Française. Chef d'état-Major, il a été en poste à Alger, Marseille et Tripoli. Je parle courament Français, Anglais et Arabe. J'avais 18 ans, quand je suis entré à l'institut des maladies tropicales de Marseille. Cette année-là, fut, mémoire de marseillais, l'année la plus chaude du siècle. Mon père avait 11 enfants. J'ai été le seul à poursuivre mes études. Malgré son gros salaire, il avait du mal à subvenir à mes besoins. D'abord à cause du nombre de ses enfants, ensuite, à cause de ses maîtresses laissées dans les différents postes qu'il a occupé. Il était coureur, comme on dit. Cette fameuse année, à l'IMT, on avait eu l'autorisation de venir en short, vu la canicule. Il y avait beaucoup de noirs dans ma promotion. Ces étudiants étaient obnubilés par la blancheur de ma peau, et en plus, constellée de taches de rousseur. Vu la position sociale de mon père, j'avais obtenu une bourse. Les autres étudiants, savaient donc que je n'étais pas riche. L'IMT non plus. Dans certaines classes, il y avait encore des pupitres à deux places, comme dans le temps, avec encrier et cadres de métal. A mon premier cours, ce fut un noir qui s'assit à côté de moi. Il se serra vers le centre du pupitre, pour pouvoir poser sa main sur ma cuisse. - Ca s'attrape ? Demanda-t-il. - Quoi ? - Ces taches ? - Non. Je les ai depuis que je suis né. - Je peux toucher ? - Il me semble que c'est déjà ce que tu fais. Non ? - Oui, mais dedans ! Dit-il en ...
    ... glissant sa main sous mon short. J'ai essayé de retirer sa main, et il s'est penché à mon oreille. De son autre main, il me tendit une jolie montre. Mon père ne pouvait pas m'offrir ça. J'ai lâché sa main, qui s'est aventurée plus loin sous mon vêtement. Ses doigts se sont enroulés autour de ma pine pour tâter ma réaction. Elle était déjà raide. - Eh ! Mais ça a l'air de te plaire ! Je rougis. Le lendemain, un autre garçon avait pris sa place. Quand il posa sa main sur ma cuisse, il me tendit les clés d'un vélomoteur. - Tu pourras le conduire quand tu voudras... Et sa main prit le même chemin que celle du garçon noir. Un autre élève prit cette place, le jour d'après. Même cause, mêmes effets, cadeau et attouchements. Les enseignants ne se sont jamais aperçus de rien. Le vélomoteur était rangé dans un parking souterrain. Son propriétaire m'y conduisit pour honorer sa promesse. Quand on est arrivé, les deux autres étudiants nous attendaient. Ils m'ont entraîné dans un coin sombre et ont commencé à glisser de nouveau leurs mains sous mon short. L'un d'eux m'a dit : - Ce serait plus simple, si tu l'enlevais ! Ils n'ont pas attendu ma réponse. Ils ont déboutonné ma ceinture et ont baissé mon short. L'un des trois s'agenouilla et prit ma pine entre ses dents, à travers le tissu de mon slip. Le deuxième était resté debout derrière lui et malaxait mes fesses. Le troisième était derrière moi, et avait sorti sa queue. Ce dernier s'agenouilla, agrippa mon slip sur mes hanches et le fit glisser ...
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