L'amour sur un pouf
Datte: 06/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... mettre en doute sa virilité, lui dire qu'elle l'avait trouvé "un peu mou" la dernière fois qu'ils avaient fait l'amour, que le type là-bas au bras de sa femme était sûrement "mieux monté" que lui, qu'il allait sûrement la faire jouir ce soir alors que "toi mon chéri, tu vas encore roupiller et négliger ta femme". Bien entendu, à peine rentré au domicile et pour peu que leur fille fût absente, il la coinçait contre la table de la cuisine puis l'asseyait dessus, la déculottait, lui écartait les jambes, sortait un impressionnant braquemard et la possédait les yeux dans les yeux avec des mots bien sentis du genre "alors, je suis mou, tu ne la sens pas, tu ne la veux pas ?" et elle rayonnante lui talonnait les reins en signe de contentement en lui répondant sur le même ton, l'implorant de ne pas s'arrêter. En général, leurs préliminaires étaient moins fougueux, plus verbaux. Après avoir décidé de baiser et s'être mis nus sur leur lit, tout en se caressant mutuellement, ils stimulaient leur cortex cérébral (car tout part du cerveau) en se parlant de leur sexe. Il la trouvait "mouillée", elle le trouvait "dur". Il lui demandait de se comporter "en vraie salope", elle lui parlait de sa bite qu'elle voulait "bien profond". Il lui promettait de "la faire gueuler", elle lui demandait d'être "très cochon", de lui "lécher le trou du cul" parce qu'aujourd'hui, elle avait "envie de se faire enculer". Plus elle parlait, plus il s'allongeait, plus elle s'humidifiait, plus ils se branlaient ...
... mutuellement. Et tout en la branlant, il lui demanda un jour si elle ne voudrait pas baiser devant lui avec un autre type qui l'exciterait. Sans réfléchir, spontanément, elle avait dit oui, à condition qu'ils la prennent à deux. Très excités l'un et l'autre, ils avaient échangé sur le sujet, il l'avait traitée de "salope", elle de "gros cochon" puis répondant à son appel,"j'en peux plus, baise-moi", il l'avait lardée de grands coups de bite en la pliant dans tous les sens, profitant de sa souplesse de gymnaste volontaire avant de connaitre un torrentueux orgasme. Quelques jours plus tard, un jeune Noir déniché sur internet baisait Martine à l'hôtel devant Christian avant qu'ils la prennent en double pénétration anale-vaginale, expérience sans lendemain mais dont Martine se souvenait encore en se masturbant dans son jardin en ce jour d'été devant Christian : - Qu'est-ce que tu fais ! l'interpella-t-il, le sécateur en l'air. - Ben tu vois, je me fais du bien. - Mais c'est dégueulasse ! - Non, c'est naturel. J'aime me branler de temps en temps, surtout sous le soleil. - Bon, comme tu voudras. Et il poursuivit son taillage, non sans regarder sa femme du coin de l'oeil qui semblait accélérer son rythme digital, les yeux clos, la bouche ouverte, toute à ses réminiscences érotiques. Ses hanches remuaient légèrement. Elle se mordait les lèvres. Elle allait jouir. Il ressentit alors une morsure dans son slip. Il bandait. Oui, en se branlant, sa femme le faisait bander. Alors, pris d'une ...