1. Les pensées d'autrui


    Datte: 21/09/2019, Catégories: fh, couple, médical, Oral fantastiqu, h+medical,

    ... soutien-gorge. Avec beaucoup de grâce, elle fait glisser sa culotte à ses pieds, puis remet sa blouse : — Il faut que je sois prête à partir si l’on m’appelle… En femme organisée, elle range son soutien-gorge et sa culotte dans une poche de la blouse qu’elle laisse ouverte et elle se rallonge en me tendant les lèvres. Nous nous embrassons passionnément, profondément et aussi avec beaucoup de tendresse. Sans la lâcher, je bascule mes jambes hors du lit et je me mets debout ; je dispose ainsi de mes deux mains pour mieux la caresser. Pendant cet intermède, l’excitation presque douloureuse de tout à l’heure est retombée. Mélanie est devenue très sereine. Je perçois chez elle ce plaisir essentiellement féminin de s’abandonner à l’autre en toute confiance, de s’offrir totalement. Remué par cette découverte, je me redresse et je la regarde. C’est la première fois que je la vois vraiment. J’ai gardé sa main droite dans les miennes et à travers elle, je sens le poids de mon regard qui caresse son corps. Ses yeux sont verts, parsemés de pépites d’or, ils pétillent de joie et d’espoir en me regardant. Sa figure est détendue, les grands cernes d’hier sont maintenant bien estompés. Ses pommettes sont hautes et forment chacune un joli pli mutin ; elles entourent sa petite bouche rieuse comme pour la mettre entre parenthèses. Comme elle s’est mise légèrement sur le côté, je vois que ses seins ne sont pas du tout petits, comme je l’avais pensé tout à l’heure. Malgré leur volume, ils ...
    ... continuent à résister fermement à la pesanteur. Et, sous mon regard appuyé, les mamelons recommencent à se dresser, comme sous l’effet d’une caresse. Elle a le ventre bien plat d’une femme sportive et des hanches larges et « moelleuses ». Au sommet de deux cuisses robustes, son mont de Vénus est couvert d’une toison épaisse et très sombre chatoyante de reflets cuivrés. Ses jambes élégantes sont fines et musclées : elle a sans doute fait de la danse dans sa jeunesse. Pendant cet examen très rapide, je sentais son plaisir de s’offrir et une fierté certaine de montrer son corps ; il est bien loin le« c’est vrai que je suis moche » d’hier soir ! Après les yeux, ce sont mes mains qui partent en exploration. En même temps, au hasard, je pique des petits bisous sur sa peau : sur l’épaule, sur une côte, sur l’estomac, sur un sein, sur le nombril… Je découvre alors ce plaisir, souvent méconnu des hommes, des caresses sur tout le corps en dehors des zones érogènes. Ce n’est pas une vague qui déferle comme tout à l’heure, c’est une marée de bonheur qui monte lentement mais inexorablement. Sans cet « accident » qui me permet de pénétrer les sensations des autres, jamais je n’aurais imaginé l’immense pouvoir de ces caresses. Cependant, les préliminaires ont une limite. Le désir de Mélanie devient de plus en plus précis. Ma bouche mordille doucement son ventre ; une main titille un sein et l’autre, glissée entre ses cuisses remonte lentement vers sa fourche. L’attente mêlée d’impatience s’ajoute ...
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