1. Les pensées d'autrui


    Datte: 21/09/2019, Catégories: fh, couple, médical, Oral fantastiqu, h+medical,

    ... complète. Celle-ci monte doucement. Je m’entends souffler bruyamment. Sa langue s’active de plus en plus vite. Ça y est, j’explose ! À travers elle, je goûte mon propre sperme, cette amertume un peu sucrée qu’elle avale avec délice. En même temps que mon orgasme, j’ai senti chez elle un plaisir intense qui lui a fait serrer les cuisses et vibrer tout son corps. Elle me lèche doucement et accompagne tendrement la détumescence. Elle me sourit et vient s’allonger à côté de moi. Nous nous embrassons et je la caresse tendrement. Je vois ses pensées redevenir bleues. Elle regarde sa montre : — Il va falloir que je te laisse, les femmes de ménage vont bientôt arriver et je dois me rendre présentable. Elle rit et continue : — Il faut absolument que l’on se revoie bientôt. Elle ajoute brusquement en rougissant : — Oh ! Ne crois surtout pas que je suis toujours comme ça. C’est la première fois que je tombe aussi vite dans les bras d’un homme. Je ne sais vraiment pas ce qui s’est passé, elle rit encore, les atomes crochus peut-être… Et puis je devais bien ça à Jean-Marc qui me trompe depuis plus d’un mois ! Et, voyant que je ris aux éclats : — Non, ne crois pas que j’ai fait ça par vengeance. C’est pas vrai, j’avais vraiment envie de toi… Je suivais sans effort le cheminement de ses pensées : — Ne t’inquiète pas, je sais que tu es sincère. Nous avons passé un bon moment ensemble et ça n’engage à rien ! Tu sais, j’aime ma femme et je ne voudrais surtout pas lui faire du mal. Bien sûr ...
    ... que l’on va se revoir, nous avons encore tellement de choses encore à découvrir… Mais, tu le sais sûrement, je sors demain ; ce n’est plus à l’hôpital que l’on va pouvoir se rencontrer.— Et moi, j’ai mes quatre jours de repos. Donc, même si tu étais resté… Mais c’est sûr, dès que tu iras mieux, je vous invite à manger. Jean-Marc y tient beaucoup. D’après ce que je vois, ça sera rapide… Tu as l’air en pleine forme.— Tu y es un peu pour quelque chose… On s’embrasse encore longuement puis elle s’en va. Quelle drôle de situation ! Même moi je me suis lancé tête baissée dans cette « folie ». Pas un instant je n’ai songé aux conséquences qui pourraient en découler, pour elle comme pour moi. Mon nouveau « pouvoir » et l’appel des sens ont été plus forts que la raison. Et c’est tant mieux ! Nous n’avons fait de mal à personne et nous nous sommes fait beaucoup de bien. Vive la vie ! Là-dessus, je m’endors comme une masse. C’est la dame du petit déjeuner qui me réveille. Il me faut quelques minutes pour émerger ; je n’ai pas dormi longtemps ! Je fais une bonne toilette pour me réveiller entièrement puis c’est le pansement. Élodie est hilare : elle raconte à Emmanuelle comment, tout à l’heure, elle a pris ma tension et ma température sans que je me réveille. Elles m’expliquent que la plaie est très belle et que, puisque je rentre chez moi, elles vont la laisser à l’air. Il faudra faire retirer les fils dans une huitaine de jours. Mais, dès demain je pourrai prendre une douche en faisant ...
«12...171819...22»