Les pensées d'autrui
Datte: 21/09/2019,
Catégories:
fh,
couple,
médical,
Oral
fantastiqu,
h+medical,
... chacune des miennes. Elle m’embrasse. Ses cuisses viennent enserrer les miennes. Je sens la pression qu’elle exerce sur son clitoris et le début du plaisir qui commence à l’envahir. Et puis elle se soulève à quatre pattes et sa bouche se promène sur mon corps : le cou, les épaules. Elle vient lécher mes aisselles puis redescend sur ma poitrine. Là, elle se recolle contre moi. Ses pieds dépassent du lit mais elle a coincé mon genou gauche entre ses cuisses et pendant qu’elle me mordille les tétons, elle presse son sexe sur ma rotule en ondulant du bassin. Elle veut que son plaisir monte en même temps que le mien mais tient à en garder la maîtrise totale. Chaque petit coup de dent qu’elle me donne résonne en elle et, en synchronisation, je sens ses mamelons qui durcissent. Elle essaye de ne penser qu’à mon plaisir et espère arriver à le rendre aussi intense que celui que je lui donne habituellement. Il faut dire que, par nature, elle est plutôt passive. Moi, étant très actif, je ne lui ai pas souvent laissé l’initiative de nos caresses. L’impression est attendrissante, à la sentir appliquée comme cela, je me retrouve une trentaine d’années en arrière, au tout début de notre union, lorsque nous découvrions nos corps. Je lui caresse le dos et descends sur ses côtes pour attraper ses seins mais ils sont plaqués contre moi. Quand elle se soulève, je réussis à les prendre mais elle repousse mes mains : — Oh ! non, laisse-moi ! Tu es gentil, mais je veux garder toute ma tête. Tu vas ...
... encore m’entraîner dans un délire… Ce soir, c’est toi que je veux rendre heureux ! Elle me caresse le torse et l’abdomen avec ses seins. La sensation est délicieuse ! Sa poitrine n’a plus l’arrogance de la jeunesse mais elle reste toujours ferme. Sophie n’a rien à envier à bien des femmes beaucoup plus jeunes, nous en avons encore fait l’expérience cet été sur une plage quand, faisant du sein nu, elle avait été le point de convergence des regards excités de certains hommes et envieux de quelques épouses. Arrivée sur mon sexe tendu et dressé, je l’« entends » rire intérieurement : elle repensait à son rêve de l’hôpital et s’amusait de la différence. Consciencieusement, elle entreprend une fellation. C’est très agréable mais il lui manque l’imagination, ce petit grain de folie qui transforme une caresse banale en délire des sens. Sophie n’a jamais vraiment aimé ça ; elle ne se force pas, non, mais elle exécute sans âme. Sans doute qu’elle n’aime pas le goût de mon sperme et que ça la bloque un peu. Mais il y a tant d’amour, tellement de désir de me donner du bonheur que ce manque de « technique » m’est indifférent et que je sens l’excitation monter rapidement en moi. Elle le sent aussi et sa bouche me quitte. Elle se rallonge sur moi et m’embrasse furieusement. Elle a besoin d’être pénétrée, c’est devenu son idée centrale. Elle s’accroupit au-dessus de moi et, doucement, elle s’abaisse pour m’enfoncer en elle. C’est une double explosion de jouissance que je ressens. Ce qu’elle ...