Drague avec mes fesses (4)
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
Lesbienne
... coups vers le haut sur le bas de sa jupe. –Oui, elle se soulève facilement, ça va faire du spectacle. –Et si tu tournes rapidement sur toi-même ? Elle fait deux tours complets sur elle-même dévoilant ses fesses et son pubis. C’est parfait. –A l’autre ensemble maintenant. Elle retourne dans la cabine d’essayage et enlève tout en laissant le rideau à moitié fermé, je rentre dans la cabine pour lui caresser les fesses puis je m’adosse au mur les jambes écartées. Elle comprend et s’agenouille devant moi, passe sa tête sous ma jupe et me broute délicieusement le minou. Je lui caresse les cheveux en me concentrant sur sa langue qui papillonne sur mon clitoris. Le plaisir monte progressivement jusqu’à l’explosion dans un sublime orgasme. Quand je reviens à moi, elle a déjà enfilé sa jupe et son corsage. Elle est moulée dans une jupe qui lui couvre tout juste les fesses, arrivant à peine deux centimètre en dessous. Le corsage est très léger et laisse deviner ses seins. Carole s’approche d’elle. –Tu es sublime dans cette tenue, tu aimes ? –J’adore. –Ok, on emballe et tu remets la première, celle-ci, c’est plutôt pour les jours ventés. Elle retourne dans la cabine et se déshabille, le rideau est toujours à moitié fermé. Elle sort de la cabine, nue, pour prendre la main de Carole et l’amener dans la cabine, elle la plaque contre le vitre, s’agenouille devant elle en lui écartant les jambes, soulève sa jupe et plonge sur son sexe. Carole ferme les yeux la tête contre la vitre, elle ...
... savoure ce moment intense. Je vois à son comportement que le plaisir monte doucement en elle, Sandrine a une sacrée technique pour te faire grimper aux rideaux. Tout à coup, Carole ouvre les yeux et la bouche comme si elle manquait d’air, ses mains plaquent la tête de Sandrine contre son sexe, elle se raidi jouit en silence. Comme pour moi, Sandrine n’attend pas que Carole revienne à elle avant d’enfiler ses vêtements. Elle met ses anciennes affaires dans un sac. Quand Carole a entièrement retrouvé ses esprits, nous allons payer et rejoignons les Champs. Nous les arpentons tranquillement en long en large et en travers. Trois filles bras dessus bras dessous, en micro jupe les jambes nues sur les Champs par zéro degré, ça ne passe pas inaperçu. Il y a souvent une bonne dizaine de mecs et de nanas qui marchent à notre vitesse, pour une fois, les parisiens ne sont pas pressés. Au bout d’une bonne heure, nous décidons d’aller récupérer les affaires de Carole dans la boutique et de rentrer chez moi. Après quelques minutes dans le métro à nous amuser comme des folles, nous arrivons devant mon porche. Une fois dans le hall, je leur demande d’enlever leurs jupes avant de monter dans l’ascenseur, elles s’exécutent et nous voilà toutes les trois le cul nu à monter au cinquième dans un ascenseur à l’ancienne. Personne ne surgit à un étage, dommage. Nous entrons chez moi, nous déshabillons et nous installons dans le salon. Guillaume est au rendez-vous, assis sur sa chaise. Il nous fait un ...