1. Petit conte de Noël


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... l’habitude de ça, voyez-vous. - Ah ça ! La téléportation en traineau, ça use ! A qui le dites-vous ! - Je peux me reposer sur votre canapé ? - Ben oui, pourquoi pas après tout. Léna la lutine, puisqu'il semblait que ça en soit une finalement, s’est allongée sur le canapé. Elle m’a regardé de côté : - Puisque vous êtes aussi lesbienne …. Vous ne voudriez pas me faire un gros câlin ? Ca va me réconforter. J’ai eu ma part d’émotion forte, voyez-vous …. - Euh …. Je … enfin, ce n’est pas commun !! Je … - Je ne vous plais pas ? - Si si … Vous êtes … très jolie Léna - Vous aussi ! D’ailleurs, je ne vous ai même pas demandé votre nom - Laetitia - Vous venez Laetitia ? Chapitre 3 – Après les émotions, le réconfort Ma langue était dans la bouche de Léna la lutine. Mes mains couraient sur ses cuisses, les pelotaient fermement, puis j’ai essayé fébrilement de détacher sa ceinture. Enfin, j’ai réussi, et j’ai écarté les pans de son manteau rouge et blanc. Dessous j’ai découvert un corps mince plutôt bien fait. Léna a la peau mate, juste relevée par une parure soutien-gorge/shorty, noirs, débordant de dentelles. Finalement, le corps des lutines ressemble à s’y méprendre aux corps de filles humaines, hormis peut-être les oreilles pointues. Les oreilles justement : - Est-ce que les oreilles sont des zones érogènes chez les lutines, demandais-je naïvement - Parfois oui, quand on les lèche ! Je ne me le fait pas dire deux fois. Je passe ma langue sur une de ses oreilles, puis prends le bout ...
    ... pointu dans ma bouche pour le sucer, ce qui n’a pas manqué de provoqué des soupirs à Léna. Nonobstant, je glisse un doigt être ses cuisses sous la dentelle de sa culotte. Les lutines mouillent autant que les humaines, voilà le constat suivant que j’ai pu faire. Tiens par contre, elles n’ont pas de nombril ! Bizarre ! Je glisse un doigt de l’autre main sous le soutien-gorge, afin de constater que les lutines ont aussi les tétons érectiles lorsqu’elles ressentent de l’excitation … - On fait un 69 tout de suite, me dit-elle en ôtant ses sous vêtement, en me reposant sur le canapé, en ouvrant mon peignoir. J’en peux plus de ces préliminaires, on se mange la minou, si vous voulez bien Laetitia. Aussitôt dit, aussitôt fait, Léna m’enjambe et s’allonge sur moi tête-bêche. Je me retrouve avec son sexe imberbe, mais tout mouillé au-dessus de ma bouche. De son côté, elle passe sa langue sur mon sexe qui lui est offert. Je crois qu’on va se faire jouir rapidement. Au diable les fioritures. De léchouilles nous passons vite à du léchage actif. Je lui glisse un doigt dans le vagin. Histoire de faire bonne figure, elle n’est pas en reste et m’en met un aussi. Ça ne manque pas, à ce régime-là, nous jouissons très rapidement. C’est très vite un festival de petits cis, de râlement puis de couinements divers et variés. Nos corps se relâchent et nous passons de la position tête-bêche à la position empilage l’une sur l’autre, mais dans le, même sens. - Tu es ma première humaine - Et toi ma première ...
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