Pelotage au concert (1)
Datte: 06/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
J’ai dix-huit ans depuis deux semaines lors de cette soirée qui me fit prendre conscience de quelques penchants que je tentais encore d’ignorer. J’étais rentrée à l’université une dizaine de jours auparavant. Immédiatement, je m’y étais sentie bien et j’avais fait connaissance avec des amis qui aimaient autant faire la fête que moi. J’ignorais tout des concerts que j’allais voir. Thibaut m’avait simplement dit que ça dépotait grave et qu’on y pogotait comme des malades’. Ces brèves indications me suffisaient amplement, j’avais quitté ma province pour la grande ville pour ça. Pour trouver ce genre d’ambiance, d’espoir de décadence. Quand nous nous étions retrouvés pour l’apéro, ma tunique blanche ultra courte devant et fort courte derrière avait immédiatement fait son petit effet. On m’avait demandé si j’avais oublié mon pantalon et ce genre de remarques subtiles. Ca me gênait un peu, mais je ne me plaignais pas, c’était le jeu quand on se vêtait ainsi. Moi même, je ne savais pas si je trouvais agréable ou pas de sentir le moindre courant d’air instantanément sur mes fesses découvertes par un string rose. J’avais la gênante impressionnante d’être quasi nue chez des amis. Je savais pertinemment que le moindre mouvement pouvait dévoiler bien plus que ne le permettait la décence. Cette idée me mettait dans tous mes états. Nous étions arrivés à la salle de concert. C’était une sorte de vieil hangar, ça sentait la déglingue permanente, la sueur, la bière. Je me sentais enfin ...
... Bruxelloise. Nous étions trop tôt, la ponctualité nous rappelait nos origines provinciales. Nous avions bu pas mal d’alcool fort avant même d’arriver et j’étais déjà bien éméchée. Je savais que dans ces cas-là, j’avais tendance à être trop expansive dans tous mes mouvements, à sauter dans tous les sens. Thibaut me passait plus souvent qu’à mon tour la bouteille de vodka qu’il avait achetée en route. Il se disait certainement que si j’étais totalement ’faite’ il aurait plus facile à abuser de moi. Il n’avait pas tort. On pouvait fumer dans la salle, ou au moins tout le monde le faisait. Un spliff tournait dans notre groupe. Pour la première fois de ma vie, je me sentais appartenir réellement à la faune underground. L’alcool, la beuh, cette soirée, tout contribuait à faire monter mon adrénaline et mon excitation sexuelle. Le concert pour lequel nous étions venu commençait enfin. Il s’agissait d’un truc punk et sauvage. Dans l’état dans lequel je me trouvais, je m’en foutais un peu de la qualité de la musique, je voulais simplement danser, bouger mon corps. Rapidement, les premiers rangs dans lesquels nous nous trouvions se virent remuer dans un pogo incontrôlable et frénétique. Je n’étais plus maîtresse de mes mouvements, je ne connaissais aucune des règles tacites de cette ’danse’. Je dansais, me déhanchais, mais emportée par la foule en quelques secondes je me cognais contre un inconnu, une inconnue. Puis, je commence à sentir des mains qui s’égarent plus qu’il ne faut. Je bouge ...