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Datte: 23/09/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Je m’agenouille au bout du divan et plonge ma bouche sur son sexe. Elle ruisselle decyprine, je me délecte de ce nectar tout en lui titillant le clitoris. Sa cyprine a un goût différent de la mienne, un peu plus doux, j’adore. Il y a très longtemps que je n’ai pas brouté une chatte avec une petite toison, même taillée très courte. L’impression est bizarre, mais pas désagréable, lespoils sont trop courts pour me rentrer dans le nez. Je lèche son ticket de métro sans oublier son bouton proéminent. J’ai l’impression de voir une ombre bouger derrière une fenêtre d’en face, on nous mate. Elle ondule sous ma bouche, je la sens se durcir, son ventre monte de plus en plus, elle se tend. — AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, oui, AAAAAAAAHHHHHHHH Je m’active sur son sexe jusqu’à ce que son corps se détende. Une fois que ses fesses ont retrouvé le divan, je me redresse pour venir me coucher sur elle. Je veux que nos corps fassent connaissance. Son visage est détendu, elle est sereine. — Ça va ? — Merveilleusement bien. — Je crois que quelqu’un nous regarde en face. — Oui, c’est pour ça que les fenêtres sont ouvertes. — Ça arrive souvent ? — Tous les jours, été comme hiver, je suis toujours à poil chez moi, et les rideaux ne sont jamais tirés, même en hiver. Il y a huit chambres de l’hôtel qui donnent directement sur le salon et j’ai remarqué que je vois régulièrement les mêmes têtes en face, ils doivent réserver la chambre pour me voir et j’aime. — Et tu fais quoi ? — Je me promène à poil, je ...
... passe l’aspirateur à poil, je me caresse sur le divan, je me masturbe en ouvrant bien les jambes, je baise avec des mecs ou des femmes, je vis quoi. — C’est dommage que chez moi, il n’y ait pas de vis-à-vis, j’adorerais faire ce que tu fais, la prochaine fois, ce sera une des conditions pour que je prenne l’appartement. — Oui, mais fais attention, il ne faut pas que ce soit les gens du quartier qui puissent te voir, ça peut te créer des problèmes. Là, ce sont des gens de passage, ils se rincent l’œil, ils profitent du moment mais ne vont pas faire un scandale à la réception. Je doute que des voisins soient si cool, c’est pour ça que les fenêtres donnant sur les immeubles d’en face sont fermées. — A retenir. — Bon, passons aux choses sérieuses, embrasse-moi. Je m’allonge sur elle, nos bouches se soudent, nos langues s’aiment, nos corps s’unissent. Au bout d’un moment, nous nous redressons pour nous assoir côte à côte. Je suis tout excitée de savoir qu’on nous regarde, je mouille encore plus. Julie pose sa main sur mon mont de Vénus, j’écarte les cuisses, elle plante son majeur dans mon vagin, le retire et l’amène à son nez. — Tu aimes t’exhiber hein ? — J’adore, je suis dans un état second quand je me montre. — Que dirais-tu de l’exhibe absolu ? — C’est-à-dire ? — Te promener à poil dans une rue, simplement revêtue d’un string et d’une fine couche de peinture qui imite des vêtements, c’est le « body painting », tu ne connais pas ? — J’ai vaguement entendu parler, mais je n’ai ...