1. SOUVENIR N°7 (1)


    Datte: 23/09/2019, Catégories: Trash,

    ... échangé des photos. Puis nous avons beaucoup parlé au téléphone. Régulièrement. Nous passions des soirées, très chaudes, si ce n’est des nuits entières à parler de sexe, à imaginer des scenarii. Enfin nous allions nous rencontrer : tu avais un séminaire organisé par ton travail sur la capitale. Celui-ci terminé, nous avons convenu de passer ensemble une petite semaine de "vacances" que nous avions tous les deux obtenu. Mais impatient de te rencontrer enfin, j’ai retenu pour ta dernière soirée de séminaire une chambre dans ton hôtel. C’est ce que tu avais espéré sans me le dire. Juste le risque de ne pas nous plaire au premier regard, qu’il n’y ait pas ce feeling, cette alchimie si nécessaire à l’envolée des sens … Aussi nous nous sommes croisés vers l’heure du repas dans cet hôtel, sans nous parler, sans nous toucher, juste un regard ….. et l’échange de nos analyses sérologiques …. Tu es donc venu jusqu’à ma chambre frapper à la porte. Nue. Toue nue. — - - - - - - - - Je t’ai relevée sans douceur par le bras et je t’ai jetée sur le lit. "À quatre pattes chienne, montre toi" De toi-même tu te cambres en écartant tes fesses avec les mains. Aucune pudeur, aucune retenue. Je regarde ton sexe béant du fait de la position d’où s’écoule encore ta mouille, et ce cul si ouvert par l’habitude des pratiques anales. "tu es trempée salope, ton cul est dilaté, cela t’excite" "oui Monsieur, et j’en ai honte" Je te donne une fessée, les tapes sont de plus en plus fort. "Donne moi ce cul ...
    ... qui m’appartient maintenant" Tu te mets à trembler, et tu pousses encore plus ton cul vers moi. Une fesse, puis l’autre puis à nouveau la première … Tes fesses deviennent rouges, je t’entends renifler et pourtant tu pousses à chaque fois ton cul vers moi, vers cette fessée qui te fait mouiller. Vers le plaisir totalement masochiste d’une femelle soumise. Je te claque entre les cuisses. Tu écartes tes cuisses car tu aimes cela. Ton sexe devient rouge. Ta douce peau, si fine en cet endroit si intime, devient brûlante. Je n’ai jamais vu une chatte couler autant en continu. Je te lève alors la tête par les cheveux pour que tu puisses me sucer. Tu me regardes dans les yeux en t’appliquant de ta langue, de tes lèvres, de ta bouche. Tout cela explose dans ma tête, me fait bander à en avoir mal : tu m’avais parlé dans tes mails de ce que tu aimais, de ce que tu rêvais, comment ton corps réagissait, tout le temps, à chaque fois qu’on te touche, mais la réalité est tellement plus puissante que le virtuel … "ouvres bien ton cul, je veux entrer en toi facilement" "oui Monsieur, je ne mérite que d’être prise par là" Tu t’écartes les fesses des deux mains, ton cul est ouvert, et je t’enfonce alors ma queue d’un seul coup, pour la ressortir entièrement, et te pénétrer à nouveau. En te tenant à nouveau les cheveux, te forçant à cambrer encore plus tes reins. Je te présente ma queue que tu sens, que tu lèches et suces avec application, malgré le fait qu’elle sorte de ton cul, ou plus sûrement ...