1. Fine mousse contre vieille écorce – Nouvelle version


    Datte: 24/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... façon très discrète et pudique. Il avait son sac à dos avec lui. Il s’est enfermé dans la salle de bain et a changé de vêtements. Je dirais pas des vêtements ultra cleans, des vêtements mieux, disons. Et puis il a bu un jus d’orange, s’est fait deux tartines de confiture. À chaque fois il a demandé s’il pouvait, même si je lui avais dit et redit qu’il pouvait tant qu’il voulait, que ce n’était pas la peine de demander. — Et puis… ? — Et puis je lui ai demandé s’il avait envie de partager un moment de tendresse en ma compagnie. Il a accepté, je l’ai invité sur mon lit. On s’est câliné, longtemps l’un contre l’autre, sans rien faire d’autre que s’enlacer, se serrer. Quelle tendresse, waouh ! Une douceur que j’ai ressentie avec très peu d’hommes. Il s’en est fallu d’un cheveu qu’on en reste là. — C’est toi qui as fait le pas suivant ? — Oui, je l’ai embrassé, puis j’ai retiré mon t-shirt. C’est là qu’il a enfin compris qu’il pouvait. — Qu’il pouvait quoi exactement. — Qu’il pouvait tout. Me caresser, m’embrasser partout, me déshabiller entièrement. C’est ce qu’il a fait. Lentement, en prenant son temps. — À défaut de quelques sous, il a eu tes dessous. — Il s’en est bien fichu ! Ce qui l’intéressait, c’est ce qu’il y avait… en dessous. Là, ça lui a beaucoup, beaucoup plu. — Et ensuite ? — Ensuite ? Rien de spécial. Il m’a pénétrée en missionnaire, m’a léché et caressé les seins, a accéléré, a éjaculé. Classique, quoi. — Il t’a fait jouir ? — On peut pas dire, non. — Il t’a ...
    ... donné au moins un peu de plaisir ? — C’était pas si mal. Le plaisir était surtout psychique. J’ai beaucoup aimé partager avec lui ce moment de complicité. Physiquement il n’y a pas eu de vrai plaisir. — Il a juste tiré son coup et rien d’autre ? — Il n’a même pas songé à demander plus. Une branlette espagnole, une sodomie, d’autres postures, je sais pas moi. Rien du tout, et son sexe ne s’est même pas rapproché de ma bouche. Pourtant il pouvait, pour ça comme le reste j’aurais été d’accord. Après qu’il se soit retiré, je me suis dit que vraiment, c’était trop bête… j’ai donc essuyé et l’ai un peu sucé. — Ça lui a redonné envie ? — Il a aimé, une semi-érection est revenue, mais pas de second coup. Pas grave. — Eh ben dis donc, quelle histoire. — On devrait toutes faire ça, de temps en temps. — Coucher avec les hommes frustrés qui n’ont jamais accès aux jeunes filles telles que nous ? — Le monde serait meilleur, si on le faisait. — Heureuse que tu parviennes à le faire. Moi je ne pourrais pas. C’est curieux que tes yeux pétillent autant en me racontant ça. — Pourquoi ? — D’habitude quand tu me racontes tes aventures elles sont beaucoup plus originales. — Tu peux pas dire que ça ne l’était pas ! — Ce qu’il y avait autour l’était. Une jeunette comme toi qui fait une proposition à un affreux tel que lui, ça n’arrive jamais. — Et c’est bien ce qui est si triste. — Maintenant la suite des évènements… bon ben vous avez couché, quoi. D’une manière très classique, sans aucun détail ...