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Ma vie de libertin - De brèves aventures - De la piscine en club libertin.
Datte: 24/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro
A l’automne suivant, j’ai rencontré à la piscine que je fréquentais assidument pour me maintenir en forme, une femme sensiblement de mon âge, c'est-à-dire au début de la quarantaine. Ce jour là Catherine, une habituée des lieux est arrivée avec un maillot de bain tellement mini que le slip était tout simplement un string comme ceux qui se portent dans certains camps naturistes. Un des maitres nageurs lui a fait l’observation de sa tenue non conforme et lorsqu’elle est passée près de moi en revenant de se changer, elle m’a fait un clin d’œil en disant : Qui ne tente rien… Je l’avais déjà croisée plus d’une fois aussi, nous avons engagé la conversation sur un ton badin. C’est là que j’ai découvert que Catherine était une exhibitionniste et qu’elle fréquentait de temps à autre différents clubs échangistes de la région. De mon côté, j’ai évoqué mon attirance pour le naturisme et le libertinage. C’est elle qui lança une invitation à l’accompagner dans un club échangiste qui, justement venait d’ouvrir en grande banlieue et devrait satisfaire nos affinités coquines. Veuf depuis quelques années, ayant depuis des maîtresses occasionnelles, j’étais totalement libre de la suivre pour une aventure échangiste. J’en n’avais eu l’opportunité à plusieurs reprises depuis que .ma liaison avec Sandrine avait pris fin. Rendez vous fut pris pour le samedi suivant. Après quelques kilomètres de route, nous sommes arrivés devant ce club situé dans la périphérie d’une ville de la banlieue ...
... parisienne. La soirée n’était pas encore très avancée car il n’y avait pas beaucoup de voitures sur le parking. Après les vestiaires, nous avons été pris en charge par une hôtesse très légèrement vêtue. Après avoir payé notre droit d’entrée, elle nous a fait découvrir les différents salons et le sauna jacuzzi. Aucun salon n’était encore occupé. Il régnait partout une lumière atténuée et les salons étaient confortablement équipés avec des profonds fauteuils et canapés, des poufs rembourrés de diverses hauteurs. Il y avait même une salle pour les amateurs de sadomasochisme. Nous sommes revenus au bar. Il y avait encore peu de monde. Seuls trois couples s’y trouvaient et bavardaient pour faire connaissance. Nous nous sommes joints à eux pour prendre la coupe de champagne de l’accueil et nous restaurer au buffet qui était disposé dans un angle. Tous avaient sensiblement notre âge sauf l’un des hommes qui semblait plus proche de la cinquantaine. Peu à peu d’autres couples sont arrivés. La plupart des participants de la soirée connaissaient déjà les lieux et certains, après avoir bu la coupe de champagne d’accueil, passaient rapidement dans l’un ou l’autre des salons qui, dans une semi obscurité complice, étaient pourvus de tout le confort pour des étreintes diversifiées. Catherine et moi n’avions jamais baisé ensemble. C’était là une belle occasion et le goût de ma compagne pour l’exhibitionnisme allait être comblé. Nous sommes allés dans le salon orange où se trouvaient déjà Amandine et ...