La secrétaire
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Masturbation
Oral
nopéné,
Je m’appelle Claire, j’ai 28 ans, célibataire et fière de l’être, j’aime vivre au jour le jour. Petite brune, je peaufine mon côté sexy et féminin. Seule ou entre amis, je sors le soir, drague ou me fait draguer sans chercher à me caser, je m’éclate voilà tout. Côté vie professionnelle, tout va bien aussi, je suis assistante administrative depuis quelques mois dans une grande société pour un commercial qui se prénomme Sébastien. Je me suis très bien intégrée dans cette entreprise, et je dois adapter mes horaires en fonction de Sébastien. Suivant les rendez-vous qu’il a, il rentre plus ou moins tard, et je dois toujours attendre son retour pour pouvoir dès le lendemain, m’occuper des commandes clients. Je dois dire que ce n’est pas une corvée de l’attendre, il me fait craquer, dans ses beaux costumes bien coupés, toujours rasé de près, et son parfum… Souvent, j’essaye de le deviner torse nu, d’imaginer ses formes, son petit cul… Claire, reviens sur terre ! Mes tenues sexy sont aussi prévues pour l’émoustiller mais il reste bien sage, quel dommage ! Il va falloir que je passe la vitesse supérieure mais je ne veux pas être vulgaire, rien de tel que la féminité. Donc, un jeudi matin quand mon réveil sonne, et après une nuit de rêves très érotiques, je décide donc de passer à l’action. Après une bonne douche, j’ouvre mon tiroir à sous-vêtements et choisis mon ensemble préféré, blanc, brodés de fils rose pale, le soutien-gorge en balconnet remontant bien ma belle petite poitrine, ...
... et la culotte, type boxer string, transparente à souhait, laisse paraître ma toison que je tiens à ne pas raser. Pour un mec voyeur, c’est très excitant, d’apercevoir des petits poils sortir de la culotte. Je prends une paire de bas couleur chair, ma petite jupe noire, qui moule mes belles petites fesses rondes et bien fermes, et mon chemisier blanc qui se croise sur le devant et qui me fait toujours un décolleté dans lequel les hommes ne peuvent s’empêcher de plonger. Plus mes escarpins et une touche de parfum, mon manteau que je laisse ouvert, je suis prête ! Quand je me gare dans le parking souterrain, je vois avec plaisir que Sébastien vient d’arriver aussi. En me voyant, il s’approche de ma voiture pour m’attendre. Profitant de l’opportunité, je descends de la voiture en prenant soin de ne pas tenir ma jupe qui s’entrouvre laissant apparaître aux yeux de Sébastien, la bande de dentelle de mes bas mais aussi mon large décolleté. En fermant ma voiture, je fais exprès de faire tomber mes clés, sachant qu’il se baissera pour les ramasser et c’est ce qu’il fait, profitant pour jeter un œil indiscret, mais je fais celle qui ne voit rien. Dans l’ascenseur bondé qui nous mène au 6ème étage, il est tout contre moi, mais n’ose rien. J’aurai aimé qu’il glisse sa main sur ma jambe, glissant sur mon bas, puis ma peau, remontant jusqu’à mon intimité, et sentir ses doigts chauds me caresser à travers le fin tissu. Mais l’ascenseur arrive, après avoir fait maintes salutations matinales, ...