1. Soirée sensuelle pour soumise sexuelle


    Datte: 25/09/2019, Catégories: fhh, fsoumise, hdomine, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, jeu, aliments, fouetfesse, couple+h, fsoumisah,

    ... nouvelle disposition lui permet d’être encore mieux fiché en moi, et aussi de bénéficier encore plus de mes seins ! Peu après, sans préambule, je suis investie par un membre masculin que je connais bien. Il épouse parfaitement mon conduit intime et me donne toujours cet étrange plaisir, mélange de réel plaisir, de faible douleur et d’avilissement… J’ai découvert assez tardivement avec Maître que j’aimais qu’on me sodomise, qu’on me prenne ainsi, dans ce tube tabou pourtant pas vraiment fait pour ce genre d’entrée. Puis j’ai ensuite découvert que j’adorais être pistonnée comme la dernière des traînées, de sentir un intrus me labourer le fion, et de continuer à le ressentir longtemps après qu’il se soit retiré ! Plus tard, Maître offrit ma rondelle à d’autres queues soigneusement sélectionnées. Pas beaucoup, mais bien choisies, car elles me donnèrent alors ce plaisir que j’attendais. Extase parfois un peu différente, mais extase quand même ! Je sais pourtant que pour certains de ces hommes choisis, je ne suis qu’une chose qu’on rabaisse car c’est moi le trou et eux la queue. Mais j’éprouve une grande satisfaction de déclencher ce type de plaisir chez un homme, et qu’il me le prouve en me remplissant, en se vidant, peu importe le trou en question. Ma mère, si militante féministe, s’en retourne sans doute dans sa tombe… Désolée, maman, si je prends mon pied de la sorte, et pas que de cette façon ! Il y a bien d’autres sévices que j’adore, hélas pour toi, et tant mieux pour moi ...
    ... ! — Non, il n’y a pas à dire, ma belle salope, je ne me lasse absolument pas de ton cul si accueillant !— Alors, profitez-en, Maître !— Ce que je fais, comme tu le sais, dès qu’il m’en prend l’envie…— Oui, Maître, je le sais, et je suis très heureuse de vous faire ce plaisir.— Normal ; n’es-tu pas ma soumise ?— Si, Maître. Et Maître commence son pistonnage. Je suis à présent investie par deux sexes en moi, un devant, un derrière, embrochée. Cette simple idée me procure cette grande chaleur dans mon ventre, cette grande chaleur que j’aime tant ! Soudain, je me souviens de ces vers célèbres : Oui, je profite, là maintenant, tout de suite ; Maître profite sans retenue de moi, Monsieur aussi, et les roses sont à la fois si douces et épineuses ! Les deux hommes s’agitent en même temps, coulissant en moi sans vergogne, s’étant synchronisés. Ça me fait tout drôle d’être prise en double, même si ce n’est pourtant la première fois ; mais avoir mes sensations jumelées me fait plein de choses ! Et pas des moindres, car être assaillie comme ça, c’est divin ! Mon ventre plaqué sur le ventre de Monsieur, mes seins écrasés, le ventre de mon Maître dans le creux de mes reins, et ces deux queues qui coulissent, qui exigent, qui me prennent. Pour mieux les sentir, je me relève sur les coudes, tête rejetée en arrière, cou tendu. Opportuniste, Monsieur s’empare avidement de mes seins ainsi libérés et me les malaxe à pleines mains, ses doigts entrés dans ma chair douce et tendre. Nous ne sommes ...