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Le bistrot - Chapitre 3 et Fin
Datte: 25/09/2019, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Inceste / Tabou
... dans l’établissement.Je sens mon entre-jambe s’humidifier, tant par la tension que par l’excitation de la situation.Deux mains se posent sans douceur sur mes fesses et me poussent contre la porte qui s’ouvre brusquement sous cette poussée. Je fais un bond en avant et tombe sur les genoux au milieu des tables.Le silence se fait instantanément et je sens tous les regards sur moi. Une énorme vague de honte et d’excitation me nouent les intestins.Je me retourne au moment où la voix de Salim fait :- Notre petite pute hésitait à entrer les gars ! Alors je l’ai aidé un peu.Puis il éclate de rire suivi par une bonne partie des clients.- Reste à quatre pattes et vient ici petite pute. Dit Monsieur Jean depuis son comptoir.Je me mets donc en route à quatre pattes en direction du bar, ma courte robe remontant sur mes fesses et laissant voir à tous les clients que je ne porte aucune culotte.Lorsque j’arrive à côté du comptoir, je ne sais combien de mains et de doigts ont touché, caressé ou se sont enfoncés dans mon entre-jambe, suivis d’exclamations sur l’humidité de celui-ci.Monsieur Jean me redresse en me prenant par les cheveux et me sermonne sur mon retard et ma façon de traverser son bistrot. Il me traite de « trainée » de « petite salope » de « garage à bite » et d’autres gentillesses, toutes en rapport avec sa façon me voir.- Si tu veux boire un café petite, va falloir le gagner. Dit, pour conclure, Monsieur Jean.Salim se penche et prend mes cheveux des mains de Monsieur Jean en ...
... lui disant :- - Je la prépare et d’ici dix minute elle sera opérationnelle patron !- Ok ! Salim, je te laisse carte blanche. Répondit-il en rigolant.- Viens petite chienne, tu vas avoir du boulot ce soir. Dit Salim en tirant sur mes cheveux pour me diriger vers le couloir des toilettes.Toujours à genoux, je le suis jusqu’au local puant et sale des toilettes. Dès que nous sommes au milieu il relève et ôte ma robe, seul vêtement que j’ai mis.Je suis complètement nue en sandale d’été, à genoux au milieu d’un local contenant sur un côté deux portes de WC et sur le mur d’en face trois urinoirs, séparés par un petit portillon qui devait sans doute protéger des regards indiscrets mais leur grandeur ne donne aucun doute, sur l’inutilité de ces portillons. Une odeur d’urine et de saleté vient titiller mes narines.Salim me redresse complètement en me tirant par les cheveux et m’approche de l’urinoir du milieu. Il me penche au-dessus en me mettant la tête dedans.J’ai le réflexe de tourner mon visage sur le côté pour que mon nez ne touche pas le fond, mais Salim pousse suffisamment pour que ma joue touche la crépine dégoutante et crasseuse au fond de l’urinoir.- Reste ainsi et met tes mains de part et d’autre. M’ordonne-t-il.Je fais ce qu’il me demande et je sens qu’il me donne de légers coups de pied sur mes chevilles pour que j’écarte les jambes.Je me retrouve, pliée à plus ou moins de 90°, la tête dans un urinoir, le derrière bien en vue et mes mains tenant la conduite de vidange de ...