1. Ne vais-je pas le regretter ? (1)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... souhaitais, de faire sans gêne mon « coming-out » lol ! Je l’ai d’ailleurs déjà fait auprès de ton pote qui sait du coup que je ne serais jamais plus un obstacle ni un problème… Notre couple à toujours tenu bon au fil des années, avec des hauts et des bas, mais mon amour est intact, voire même plus fort et plus sincère qu’au premier jour. Notre couple a su évoluer pour tenir bon et il a encore besoin d’évoluer, j’ai besoin qu’il évolue… Je n’envisage pas un couple libre, car je n’ai absolument pas envie d’être libre, bien au contraire… J’ai envie que TOI tu sois libre… d’une liberté totale ! Voilà ma puce, comment j’ai évolué… J’espère juste que l’on a évolué ensemble… car moi je me suis enfin trouvé, je sais où j’en suis et je suis serein avec ça. Même si je rêve de revenir vivre dans les P-O, je commençais à m’habituer à « notre routine de couple Gersois ». Déménager casserait cette routine et je ne supporterais pas de retrouver la même routine là-bas c’est pourquoi je te le redemande. Cette condition au déménagement est primordiale pour moi, pour nous… Promets-moi avant, de vive voix, de concentrer à l’avenir ta libido sur d’autres, promets-moi de faire passer notre vie intime après celle que tu pourrais avoir avec d’autres et promets-moi de me permettre d’être ton cocu… Pas juste pour un plan cul, ton cocu à part entière, ton cocu au quotidien… de vivre ainsi et de l’intégrer à notre normalité. J’ai besoin de te l’entendre dire pour avancer… Pas à demi-mot, pas en ...
    ... rigolant… te l’entendre dire sincèrement, les yeux dans les yeux. J’ai besoin que tu m’aimes comme un cocu, j’ai besoin que tu fasses passer ton intimité de couple au second plan de ta vie sexuelle et j’ai besoin que tu m’imposes, que tu revendiques tes désirs… Bises, mon cœur, je t’aime fort… Aussi fort que l’on peut aimer !–––oooOooo–––Surprenante et inattendue réactionQuelques jours passent et aucun retour à mon courrier. Je m’étais pourtant totalement livré et même, mis en danger… Rien, la routine reprend son cours, pas un mot, pas une remarque, un déni total.Bon, je ne suis pas tant surpris. Au fil des années, j’ai appris à la connaître et je sais bien que la communication n’est pas son fort. Autant elle sait se montrer proche, passionnée et investie lorsqu’elle est en confiance autant, lorsque le sujet la stresse, elle se renferme et applique « la politique de l’autruche ».Les textos ce n’est pas non plus son truc, elle n’en envoie jamais hormis pour des choses classiques et basiques du quotidien : prendre le pain, aller chercher les enfants, payer une facture… c’est toujours très furtif et très impersonnel. Bref je ne suis pas surpris, le sujet doit la gêner ou la déranger alors tant pis !Et pourtant, il est midi alors que je prends ma pause déjeuner après une heure de fitness intense lors d’un cours collectif que j’encadrais, je reçois justement un texto de sa part.« Mon bidou, t’as cinq minutes pour discuter ? »Cinq minutes pour discuter ? Ça ne lui ressemble pas, que se ...
«1...3456»