1. Fille au pair (Chaptitre 2 / 6)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... profiter ! - J’ai peur d’avoir mal ! Je suis tellement étroite. - Rassure toi, je ne vais pas te forcer la pastille comme çà ! Je veux que tu aies aussi du plaisir. Je sais comment faire et depuis que j’ai éduqué ma femme, elle jouit aussi fort du cul et de la chatte. En disant cela Guido prend le tube de baume apaisant destiné à atténuer la douleur cuisante des coups de cravache et je sens qu’il en injecte dans mon p’tit trou avant d’y faire entrer tout doucement un des ses doigts. Je me crispe un peu mais je finis par accepter cette intromission anale. Dès que son doigt est entré Guido recommence à me baiser bien à fond, prenant mes deux trous, sa bite dans ma chatte, un doigt dans mon cul. Chaque fois que sa bite arrive au fond de ma chatte, j’ai des frissons de plaisir qui courent le long de mon dos ! Que c’est bon. Je commence aussi à avoir de bonnes sensations au niveau de mon sphincter. Si bien qu’au moment où Guido jouit dans le préservatif, une jouissance démente me déchire les entrailles, ruant comme une cavale en furie tant et si bien que nous basculons sur le côté. Hélas, Guido est sorti… mais je sens sa bite encore à moitié bandée dans le creux de mes fesses. En moi-même je pense : quel baiseur ! Il ne fait pas mentir la réputation des italiens… Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Guido a une main passée sous mon torse et il emprisonne un sein dans le creux de sa main. Je resterais bien des heures comme cela mais il doit se sauver pour ne pas éveiller les ...
    ... soupçons de sa femme. Il est censé faire les comptes du restaurant… Guido me quitte en disant qu’il reviendra le lendemain soir mais qu’il ne sera pas utile de casser de la vaisselle et qu’il s’occupera d’agrandir mon p’tit trou ! Je passe une nuit sereine tant j’ai bien joui entre les bras de Guido. Le lendemain, j’arrive la première à l’office où se trouve déjà Mme Maria qui m’accueille avec un petit sourire narquois : - Montre-moi comment Guido t’a fessée ! Trousse ta jupe que je vois tes fesses ! Je ne peux que m’exécuter. - C’est bon ! J’étais fatiguée ! Il a bien fait son travail. Si elle savait ! Elle n’imagine pas (ou elle fait semblant de l’ignorer) qu’après m’avoir cravaché les fesses, son Guido de fils m’a fait jouir comme une catin… La journée se passe rapidement car nous avons de plus en plus de monde, aussi bien le midi que le soir. Lorsqu’à près de minuit, je regagne ma chambre sous les combles en compagnie d’Anja, nous sommes l’une et l’autre bien fatiguées. Une bonne nuit de sommeil nous fera du bien… mais je sais aussi que Guido va me rejoindre… J’ai à peine eu le temps de prendre une douche après Anja, que Guido entre dans ma chambre. Il porte une trousse qu’il pose sur mon lit avant de m’enlacer : - Alors, Sidonie, tu veux toujours que je t’ouvre ton p’tit trou ? - Oh oui Guido ! J’ai envie ! J’ai déjà eu un peu de plaisir hier soir quand tu y as mis ton doigt. Pendant qu’il m’embrasse, il fait glisser le peignoir de bain sous lequel je suis nue avant de se ...
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