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Cours d’éducation sexuelle des futures courtisanes.6 ème leçon.Dépucelage.
Datte: 07/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... tête renversée en arrière mon corps tremble. J’entame de faibles mouvements de hanches pour permettre à cette colonne de chair de bien prendre possession de mon temple d’amour si étroit dont il prend toute la mesure, l’enduisant au passage copieusement de mes sécrétions vaginales, lubrifiant généreusement nos deux sexes. La douleur ressentie du début est vite submergée par le plaisir de sentir en moi remuer ce plantoir disproportionné. Je vois que la langue et la bouche du Maître déclenchent chez Martine des sensations tout aussi fortes, elle gémit encore plus fort que moi. Je plonge mes yeux dans les siens. Après quelques doux allers-retours, le passage est devenu plus praticable. Je deviens comme une folle me défonçant littéralement sur son rostre, mes cris montent à l’unisson de ceux de Martine, je suis une amazone chevauchant ce bel étalon. Il ne me faut que peu de temps pour atteindre l’orgasme. Je m’écroule dans les bras de Martine et nous nous embrassons comme deux gouines. Je reviens enfin sur terre quand la Maîtresse me dit de céder ma place. Je me désaccouple avec regret de cette cheville toujours aussi raide, légèrement teintée de mon sang. Récit de Martine La langue du Maître m’a fait monter au 7ème ciel, il est beaucoup plus doué que les garçons. Par 2 fois je n’ai pu me retenir et j’ai ouvert les vannes, noyant mon tourmenteur sous une cataracte de mouille. Il s’est rapproché du bord du lit et pose ses deux pieds au sol. Je m'assieds sur ses cuisses dos à lui ...
... en mettant mes jambes de chaque coté. La Maîtresse me fait mettre mes pieds sur les genoux du Maître et mes mains sur sa poitrine, mon corps fait un petit pont. Je n’ai qu’à plier les jambes pour que ma foufoune entre en contact avec le vit maintenu à la verticale par la main de Madame Clerc. Je sens cette énorme force virile à l’orée de ma cramouille. Je bloque ma respiration et d’un seul coup abaisse mes fesses. C’est comme si un sabre me transperçait. La moitié de l’épieu a disparu en moi. Sous la douleur, je me relève brusquement en hurlant. La verge est maculé de sang, beaucoup plus qu’avec Annabelle. Je n’ose plus recommencer. La Maîtresse m’encourage : -Quand on tombe d’un cheval, il faut tout de suite remonter en selle ! Elle appuie doucement mais fermement sur mon bassin et dirige mon vagin sur sa belle pine. Elle pousse doucement et je sens à nouveau le gland trigonocéphale repousser mes chairs intimes. J’arrive à rentrer la moitié de cette verge. Malgré la douleur, je commence à faire un ou deux va et vient. Je commence à m’habituer doucement. Je ressors bien pour le sentir rentrer à chaque fois un peu plus loin mais comme Annabelle, je dois abdiquer devant un tel pal. Son sceptre me donne du plaisir tout le long de ma paroi écartelée aux limites de sa souplesse. Le plaisir est devenu intense. Son jonc vigoureux coulisse maintenant librement dans mon conduit élargi et bien lubrifié. Mais le Maître a décidé après quelques minutes de reprendre les rennes. Il redresse ...