1. Ma mère et moi : plaisirs charnels (2)


    Datte: 26/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Chapitre 4 Jeux charnels avec nos corps Le lendemain était un dimanche. Je me levai vers 9 heures, enfilai un boxer et un T-shirt et descendis dans la cuisine. Ma mère y était déjà, préparant notre petit-déjeuner. Elle était vêtue d’une robe de chambre rose assez courte pour laisser apparaître ses belles jambes jusqu’en haut des cuisses. — Bonjour, maman chérie ! — Bonjour, Marc ! Bien dormi ? — Oh, j’aurais aimé que tu partages mon lit, mais bon ! Merci encore, maman chérie, pour le plaisir que tu m’as procuré en me montrant ton corps de rêve ! — Vilain flatteur ! Mais je n’ai eu que rarement le plaisir de sentir mon corps aspergé de sperme chaud ! Merci aussi ! — Tu as mis une autre robe de chambre, maman ? J’aurais aimé mettre mon nez dans les jus d’amour séchés qui ont souillé ta robe de chambre hier soir ! — Vilain garçon ! Tu es décidément très vicieux ! — Maman, nous sommes seuls ici dans cette grande maison ; tu me plais, je t’aime, tu m’excites ! Jamais je ne raconterai à qui que ce soit ce que nous faisons dans le domaine du plaisir amoureux. Alors, ne nous gênons pas, donnons-nous du plaisir, bien cachés et complices sensuels et sexuels … Jusqu’au bout de la débauche ; jusqu’au bout de la dépravation ; avec des mots et des actes cochons si cela nous plaît ! Et des râles de plaisir, si nous en avons envie ! Où est le mal finalement ? Penses-tu comme moi, maman chérie ? — Oh, mon chéri ! Je mouille rien qu’à entendre tes paroles ! C’est dingue ! Je suis folle et ...
    ... totalement déraisonnable, mais tu m’excites tellement !!! — Merci pour cette confession, maman ! Viens, déjeunons et puis nous verrons comment nous faire mutuellement plaisir ! Café, confiture, jus d’orange, beurre et croissants étaient prêts. Je demandai à maman si cela la dérangerait si j’ôtais mon boxer. Elle rougit et dit : — Non bien sûr, mon chéri, au contraire ! Voir ta belle queue au petit déjeuner serait un grand plaisir pour moi ! Je me débarrassai de mon boxer en libérant ma bite déjà bien gonflée et durcie, à l’idée de ce que nous allions peut-être faire, maman et moi. Elle me dit : — Oh, elle est si belle, ta queue, mon Marc ! Et elle est déjà si grosse, avec ce gland rose foncé au bout ! Je me réjouis de ce que je pourrais lui faire tout à l’heure ! La vue de tes grosses couilles dans leur sac plissé et rasé me chauffent le sexe aussi ! — Mmmm ! Merci, maman ! Je m’assieds pour que nous déjeunions cool et relax… Je dis, tout à coup : — Oooooh, il me vient déjà une idée lubrique ! Je me levai, à moitié nu, la queue en érection et m’approchai de ma mère …Me mettant à côté d’elle, je plongeai mon pénis en érection dans son bol de café : le liquide déborda et je lui dis : — Suce maintenant ma bite pour en goûter le café, maman ! — Oh, Marc, mon chéri, tu es un dépravé, c’est sûr ! Mais elle introduisit mon pénis dans sa bouche et le suça goulûment. J’en profitai pour lui demander de lécher mon sac à boules, ce qu’elle fit avec un art consommé. Sa langue me parcourut ...
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