1. Mathilde, ma belle-mère (5)


    Datte: 26/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 5 Le dépucelage de la fille C’est ma dernière perm avant la quille. Je retrouve ma future belle famille le samedi où les retrouvailles après cette absence de deux semaines, toutes mes femmes étaient j’oserai dire en manque. J’ai commencé par la promenade habituelle avec ma chère Lucette. Arrivé à notre lieu de câlinage, après avoir mis sa main dans mon slip, elle me dit : — J’aimerais aujourd’hui franchir le pas qui fera de moi une femme à part entière. — Tu feras de moi un homme très heureux. — Mais j’ai un peu peur de souffrir, sois doux. — Cela va de soi, répondais-je, excité comme une morpion sur un pubis accueillant. Laisse-moi m’occuper de ta poitrine en préalable — Comme tu le dis, cela va de soi. Me répond-elle en se dépoitraillant. Sans attendre, après avoir goûté ses lèvres pourprines, je commence à lui lécher de long en large ses seins pour finir à gober les petites fraises qui les ornent. Puis une fois que je remarque que le bas est bien chauffé et que sa culotte transpire comme pas possible, je lui descends sa dite culotte, la retire de ses pieds, mettant à l’air ses cuisses et son intimité. — Cela me fait tout drôle de sentir mon minou à l’air. — J’aimerai bien la goûter comme la dernière fois, — J’espère bien, tu veux que je te secoue ta tige ? Mais je pense que ce n’est pas nécessaire en voyant comme elle est dressée, on dirait l’obélisque de la place de l’étoile. Sans attendre plus, je me positionne entre ses jambes et j’embrasse l’intérieur de ...
    ... ses cuisses à la peau si douce, finalement, j’arrive à son sexe et mettant fin à son impatience, je commence à la lécher et m’appliquant spécialement sur son petit starter qui se dresse hors de son fourreau. — Enfin grogne-t-elle, oui, continue j’aime vraiment beaucoup quand tu me lèches comme cela. Je constate qu’elle est au bord de l’orgasme, c’est le moment de procéder à la perforation historique du Gothard. Je présente ma queue à l’orée de son sexe bien lubrifié. — Voilà, dans un instant, tu ne seras plus une demoiselle, mais une dame, lui dis-je d’un ton solennel. — Viens, je suis impatiente. — Je vais aller doucement, mais à un moment, cela va te faire un peu mal. Doucement je m’enfonce dans son sexe jusqu’à arriver à une petite résistance. — Ça va ? Lui demandais-je. — Oui, continue. Alors d’un mouvement brusque, je me plante jusqu’au fond, faisant exploser son label de garantie, puis je reste tranquille et demande : — Je répète ma question, cela va, tu n’as pas eu trop mal ? — Un peu, mais je sens de moins en moins, — Alors je vais bouger un peu, tu me dis si cela ne te convient pas. Lentement et doucement, je commence un mouvement de va-et-vient avec mon sexe, allant et venant dans sa matrice. Elle marque son contentement. — J’ai un peu mal, mais c’est tellement bon, continue et fais encore plus fort. J’aime ta queue quand elle s’agite. Je me mets à accélérer, tout en lui caressant sa poitrine, alors qu’elle met sa main entre nos deux ventres, avec un doigt sur son ...
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