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Ladies Night (1)
Datte: 07/09/2017, Catégories: Erotique,
Ce soir c’est "Ladies Night" comme dit V. Je déteste cette expression. A et moi avons passé le début de soirée à nous préparer dans sa chambre. Devant son grand miroir les tenues et les verres de Martini se succèdent. Elle tient à être irrésistible. Son célibat commence manifestement à lui peser. Après une bonne dizaine d’essayages, elle a opté pour un pantalon noir qui la met parfaitement en valeur ainsi qu’un haut bordeaux ouvert dans le dos et dont les lanières s’entrecroisent sur sa peau caramel. Impossible de mettre un soutient gorge. De toute manière avec sa petite poitrine ronde, elle peut parfaitement s’en passer. Elle se dandine devant moi en riant. Elle est heureuse, légère, parfaite À mon tour. Elle insiste pour que j’essaie une de ses robes, un machin bleu. Je n’ai pas envie. Je reviens de la plage, il me faut une douche. Elle voit ma moue et va se maquiller sans insister. Enfin dans la salle de bain, enfin un peu de calme. Je me débarrasse machinalement de mon maillot et de mon paréo. Un courant d’air me fait frissonner tandis que j’ouvre le robinet. Ça fait un bien fou. Je ferme les yeux, croise les bras sur la paroi et y pose ma tête. Le Martini fait son œuvre. Je pourrais rester comme ça indéfiniment. J’adore sentir l’eau glisser dans mon dos bronzé avant de s’insinuer entre mes fesses. Je pense à J et à toutes ces fois où il m’a rejoint sous la douche pour me faire l’amour. Ce simple souvenir me fait me cambrer. Je glisserais bien une main entre mes cuisses ...
... mais je sais que je suis déjà en retard. J’ouvre les yeux, la nuit est déjà bien installée. Il faut que je m’active. Je me retourne pour attraper un flacon et sursaute à peine. Je ne suis plus seule. Le frère d’ A est à l’entrée de la douche, il m’observe tranquillement le sourire aux lèvres. Le revers de son jean est trempé. Il est torse nu, les bras croisés sur ses abdos. Il ne dit rien. Je l’observe à mon tour. Rapidement. Il a la peau caramel comme sa sœur, tannée par le soleil africain, les muscles parfaitement dessinés et les yeux qui brillent. Il fait un pas vers moi ; je constate l’ampleur de la bosse qui déforme sa braguette. Je lève rapidement les yeux et croise son regard. Il m’a vue faire. Il rit doucement, fait encore un pas et vient m’embrasser voluptueusement. Je tente de bafouiller une excuse pour me dérober. Il m’embrasse de nouveau pour me faire taire. Je n’ai même pas envie de résister. Je me laisse aller et dégrafe son pantalon. Je libère enfin sa queue. Elle tient ses promesses. Lisse, large et légèrement incurvée. Je la caresse délicatement tandis qu’il m’embrasse dans le cou et joue à faire rouler mes tétons sous ses doigts. Sans conviction je lui murmure que je n’ai pas le temps. Pour seule réponse il me fait me retourner. Je retrouve ma position initiale contre la paroi, je me cambre de nouveau, sous ses caresses cette fois. Il fait courir ses doigts entre mes omoplates, le creux de mes reins, mes fesses. Je sens la chaleur de sa peau au contact de la ...