FanfiX: les bronzés font du ski (1)
Datte: 27/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... déjà de sa grotte quand elle fut surprise par une gigantesque vague de plaisir. Radieuse, elle se releva, en toisant Popeye avec un air vainqueur. — Tu veux boire quelque chose pour te remettre ?, lui demanda Popeye. Beau joueur, il reconnut sa défaite, il enfila rapidement ses vêtements pour aller jusqu’au bar. Quelques instants après, il était de retour avec deux cocktails, et retrouva Caro restée nue. Ils s’assirent tous les deux sur le matelas. Il passa son bras autour de l’épaule de Caro pour l’embrasser, et elle lui rendit son baiser, en caressant son sexe à travers le jean. — Je vois que tu n’es pas rassasiée, ironisa-t-il, en se déshabillant. Je vais te faire appeler ta mère. — Prétentieux !, lui répondit-elle, sur un ton de défi. Elle le vit se diriger vers l’armoire dans laquelle était rangé le matériel de sport, et en sortir un flacon de lubrifiant. Elle devina ce qu’il avait en tête, et vit qu’il recommençait à bander quand il la prit par la main, pour l’entraîner vers un cheval d’arçon. — Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement, lui dit-il, en lui faisant se pencher en avant pour prendre appui sur le cheval et écarter les jambes. Elle regrettait un peu son insolence de tout à l’heure, mais elle était malgré tout excitée, et elle n’en était pas à sa première sodomie. La douceur dont fit preuve Popeye en la caressant longuement et en préparant son anus avec ses doigts, sa salive et le lubrifiant, rassura Caroline. Elle sentait l’excitation monter en elle, et ...
... elle se mit à caresser son clito, les yeux fermés. En peu de temps, de gémissements s’échappèrent de sa gorge. Le désir l’envahissait, impérieux, mais il faisait durer l’attente. — Vas-y, je t’en prie, finit-elle par supplier. — Tu la veux dans ton petit cul ? — Oui, oui ! — Alors, dis-le bien fort. — Je veux ta bite entre mes fesses ! Encule-moi !, finit-elle par crier, en écartant les deux globes musclés avec ses mains. Popeye guida son gland entre les fesses de Caro, jusqu’à ce qu’il appuie contre sa rosette. Il poussa une première fois, écartant les bords sombres de son fourreau, marqua un temps d’arrêt, recommença, jusqu’à ce que le gland disparaisse. Il attendit qu’elle se détende, et d’entendre à nouveau ses gémissements, avant de poursuivre sa pénétration. Caroline savait que, si elle ressentait déjà du plaisir à ce stade, la suite serait un vrai bonheur. Par de petits mouvements de hanche, elle augmentait ce plaisir, et donnait à son partenaire le signal de son abandon. Popeye le comprit bien. Il continua de la pénétrer, de toute la longueur de son membre, avec de petits allers et retours entre les fesses de Caro. Et quand il commença à la limer, en usant de toute la longueur de sa bite, elle se mit à crier de nouveau. Chaque mouvement du pieu qui la perforait déclenchait un feu d’artifice dans le bas de son ventre, et qui gagnait tout son corps. Pour Popeye, l’étroitesse de l’orifice décuplait aussi ses sensations. En amant expérimenté, il savait contrôler la montée ...