1. FanfiX: les bronzés font du ski (1)


    Datte: 27/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... elle s’agenouilla entre les deux hommes, et fit sauter simultanément les boucles de leurs ceintures. Elle fit glisser les fermetures, baissa leurs boxers, et dégagea les deux tiges dressés. Pendant qu’elle commençait à les branler, ils enlevèrent leurs vêtements. Caroline marqua un temps d’arrêt. Depuis l’autre soir, elle connaissait intimement l’anatomie de Popeye. André était très différent. D’une taille moyenne, râblé et musclé, il avait un physique de catcheur. Mais c’est son sexe qu’elle regardait surtout : à son image, il n’était pas très long, mais particulièrement épais, avec un gland impressionnant. Les mains de Caro reprirent leur ballet sur les deux queues dressées, sa bouche se rapprocha. Elle embrassa le gland turgescent d’André en premier, puis celui de Popeye. Ses lèvres se mirent à aller et venir entre les deux verges en érection, les léchant, les gobant, les suçant, avec une passion croissante. Les deux hommes grognaient de plaisir, mais elle avait envie qu’on s’occupe d’elle. Elle s’installa sur le lit, en appui sur ses coudes, écarta ses jambes repliées, et dévoila son coquillage tout rose avec un regard provocant. André plongea la tête entre ses cuisses, et sa bouche prit possession de cette chatte chaude et offerte, tandis que Caroline avait repris la bite de Popeye dans sa bouche. Les tétons pointés vers le plafond, elle savourait le cunni que lui prodiguait André : il savait trouver ses points sensibles, léchant sa fente, aspirant son clito, ...
    ... vrillant la pointe de sa langue dans sa grotte inondée de cyprine. Elle gémissait, râlait de plaisir. Puis Popeye se coucha sur le lit, et la fit venir sur lui en 69. A son tour, il enfouit sa tête entre ses cuisses accueillantes. Elle se retrouvait à la verticale de sa tige dressée, mais André s’agenouilla sur le lit, devant elle, et elle se retrouva avec deux énormes pénis à branler et à sucer. Caroline se déchaîna. Elle remuait ses hanches et se cambrait, pour offrir sa chatte et son cul à André, qui les fouillait maintenant avec ses doigts. Elle criait maintenant, quand les pieux des deux hommes ne la baillonnaient pas. Elle était décidée à profiter à fond de cette dernière soirée, et lorsque l’orgasme l‘envahit, elle ne fit rien pour le retarder. Ses cris de jouissance exacerbèrent le désir de ses deux partenaires. Popeye reprit l’initiative : il la fit mettre à quatre pattes, et la pénétra, en levrette, avant qu’André n’investisse de nouveau sa bouche, et il se mit à pilonner sa chatte. — Ooooh, c’est bon !… Oui, comme ça ! Plus fort!, hurlait-elle, reprenant aussitôt le gland turgescent d’André entre ses lèvres pulpeuses. — Laisse-moi la tringler aussi, réclama ce dernier. Elle a vraiment le feu au cul. Ils s’échangèrent Caro, mais cette fois, elle chevauchait André, en suçant Popeye. C’était elle qui, maintenant, décidait du rythme et de la profondeur de la pénétration, mais elle ne ralentit pas, au contraire. Les deux hommes voulaient la faire jouir, comme une femelle en ...