Gloria
Datte: 27/09/2019,
Catégories:
fhhh,
extracon,
inconnu,
sauna,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
totalsexe,
bourge,
... — Didier ? C’est vous ? Vous êtes là ?— Oui, c’est moi.— Vous… vous pouvez me… euh… laver le dos, s’il vous plaît ? Je ne peux pas, et… euh…— Ce sera avec plaisir. Il s’empare du gel douche, s’en met sur les mains, et sans complexe me savonne le dos. Malgré moi, ça me donne des frissons ; j’aime bien être l’attention d’un homme ! Ce n’est pas Luc, mon mari, qui daignerait s’occuper un peu de moi, oh non ! Pourtant, je ne demande pas grand-chose. Je me laisse câliner de la sorte par ses mains qui parcourent mon dos du cou aux lombes. Parfois, ses doigts taquinent le bas de mon dos, dans le creux des reins. J’aime beaucoup ! Parfois aussi, ces mêmes doigts s’aventurent sur les côtés, voire à la base de mes seins, ce qui me fait frissonner. Je me plais à souhaiter que Didier soit plus téméraire, mais quelque chose me dit que ce ne sera pas le cas. En effet, peu après, il s’arrête. — Voilà, je n’ai oublié aucun centimètre carré de votre dos.— Merci beaucoup. Je n’ose pas lui dire qu’il a oublié d’aller plus bas… Il reprend : — Quand vous serez OK, entrouvrez la porte qui mène à l’accueil, comme d’hab’, OK ?— OK, Didier. À nouveau il s’en va. Je suis amusée et intriguée : il est vraiment gentleman ? Timide ? Ou bien, finalement, je ne l’intéresse pas ? Peu importe : pour l’instant, je profite à nouveau à fond de cette délicieuse douche ! Quelques minutes plus tard, je sors de la cabine de douche ; je me sens pure et nette. Je me sèche avec diverses serviettes. Il fait chaud ici, ...
... je suis bien. Comme convenu, j’entrouvre la porte. Peu après, Didier est là. Il est surpris de me voir toujours nue. — Vos vêtements sont là sur la chaise…— Je sais. Je m’approche de lui. Il me regarde avec un certain étonnement. Je tends légèrement les bras et je lui demande : — Prends-moi dans tes bras, s’il te plaît… Pas besoin de le lui demander deux fois. En un clin d’œil, il me serre délicatement dans ses bras, ma tête sur son épaule, ses mains sur mon dos. Je me laisse câliner doucement ; je suis bien, reposée, tranquille, sereine… Je sens très bien que je ne le laisse pas indifférent : quelque chose sur le bas de mon ventre me l’indique clairement. Mais visiblement, il joue les gentlemen. Le temps passe… — Didier ?— Oui, Gloria.— Honnêtement, tu penses quoi de tout ça ? Tout en me caressant délicatement le dos, il se racle la gorge. — Ce que j’en pense ? Que du bien… que du bien…— C’est-à-dire ? Il me serre un peu plus contre lui. — Mon "investissement" a été au-delà de ce que je pensais.— Je t’ai déjà prévenu : je ne suis pas certaine de vouloir recommencer cette histoire de glory hole. Franchement, je ne sais pas… Mais ça valait la peine d’essayer au moins une fois.— Non, non, je pensais à moi, égoïstement, pas au club de handball, ni aux autres.— Que veux-tu dire ? Avant de répondre, il plaque une main contre ma chute de reins, tandis que l’autre s’enfouit dans mes cheveux. — Que je suis un égoïste, un grand égoïste, et même plus que ça !— Ça m’avance beaucoup… Il ...