Médecin remplaçant partie 4: Tête à tête sous tension
Datte: 07/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Après le départ de madame Corbois, je suis resté quelques minutes à mon bureau, laissant aller mes pensées à des désirs inavouables, bien loin de la morale et de la déontologie que je m’étais fixée en commençant mes études de médecine. Je me promet intérieurement de ne plus me laisser entraîner dans ce genre de pratique avec mes patientes et de rester professionnel sur toute la ligne. Je sors du bureau et enjoins Alexia, ma charmante secrétaire, de faire entrer le patient suivant. A en juger par le regard en biais qu’elle me jette, je me rappelle que Mme Corbois avait été plutôt bruyante à la fin sa « consultation » et je crains de m’être mis à dos une bonne partie de ma patientèle. Heureusement, il n’en est rien, et les patients s’enchaînent jusqu’à la pause de midi. Je propose à Alexia de venir déjeuner avec moi, histoire d’enterrer la hache de guerre et de repartir de zéro, mais elle me rétorque qu’elle a amené son Tupperware et qu’elle déjeunera au bureau pour ne pas perdre trop de temps. Je souris devant la défiance de son regard, et me dirige vers le vestiaire pour me changer. Il fait grand soleil dehors, et je vais profiter de ma pause pour aller courir. Je mets donc mes baskets, un shorty noir moulant et un haut en polyester noir et jaune tout aussi moulant, qui galbe parfaitement mes pectoraux saillants et mes abdominaux parfaitement dessinés. Quand je sors du vestiaire, Je vois dans le regard d’Alexia un éclair de surprise, et elle en lâche sa cuillère qui tombe sur ...
... le sol, à mes pieds. Elle se baisse pour la ramasser, et marque un arrêt quand son visage se retrouve au niveau de mon sexe qui, bien qu’encore endormi, forme une bosse proéminente sous le tissu moulant du short. Quand elle reprend ses esprits et se rassied sans mot-dire à sa chaise, je me penche sur le bureau et lui chuchote à l’oreille « je vais aller courir un peu, à tout de suite », faisant vibrer ses boucles blondes. Elle me répond par un regard noir de ses grands yeux bleus sous ses lunettes « Oui docteur ». Je sors. Pour un mardi midi, je trouve que la quantité de joggers au bord du lac à cette heure est impressionnante. Trentenaires, quadra et quinquagénaires se partagent la piste cyclable qui fait le tour du lac. Ici, tout le monde fait du sport, et à un plutôt bon rythme, apparemment. A peine me suis-je lancé à mon rythme que je suis dépassé par un groupe de quadras qui discutent en trottinant. Enfin, trottiner, c’est un euphémisme, car ils me distancent rapidement. Quelques centaines de mètres plus loin, je repère deux nanas qui courent ensemble dans la même direction que moi. Je ralentis mon rythme pour les mater un peu, et rester derrière elles. Elles sont brunes toutes les deux, pas très grandes, dans les 1m60 pour l’une, un peu plus pour l’autre, mais leurs fesses sont parfaitement galbées sous leurs leggins, et je sens que je commence à rebander en regardant ainsi leurs culs se balancer de droite et de gauche. En haut, celle de gauche porte un t-shirt noir et ...