1. Douce soirée


    Datte: 28/09/2019, Catégories: fh, ffh, hplusag, jeunes, inconnu, caférestau, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, init, initiatiq,

    ... au-dessus de la racine du phallus. Léa est fascinée par ce sexe qu’elle a tenu tout à l’heure en main. Il avait alors une autre vigueur ! Elle reste toujours émerveillée de la capacité du sexe masculin à changer ainsi d’apparence. — Bien ! Ne sont-ils pas magnifiques tous les deux ? Maintenant, veuillez vous asseoir les fesses au bord du canapé et vous appuyer au dossier et vous allez écarter légèrement les jambes… voilà, comme ça, c’est parfait. Puis elle prend Clara et elle la fait asseoir sur les cuisses de Léa, ses jambes de chaque côté des siennes ce qui les lui écarte encore plus. Et elle la fait s’appuyer contre le corps de Léa. Clara se retrouve ainsi le sexe ouvert, offert à la vue de tous. — Si vous le voulez, vous pouvez lui caresser la poitrine et le ventre jusqu’au pubis. Mais pas plus bas, n’est-ce pas. Pas touche à son sexe, on est d’accord ?— D’accord Madame ! Et sans tarder Léa commence à prendre en mains chacun des seins de la jeune fille. Fermes, haut montés, ni trop gros ni trop petits… Les pointes se dressent déjà sous les caresses. Sophie s’adresse à Armand : — Eh bien mon garçon, tu connais le jeu, n’est-ce pas ? Tu vas t’agenouiller entre les cuisses de Léa et tu vas offrir un joli cunnilingus à ton amie Clara. Tu peux caresser les cuisses de Clara, Léa s’occupe du haut. Armand approche son visage du sexe ouvert devant lui. Léa est déçue. Elle ne voit rien. Mais elle sent soudainement la jeune fille se crisper sur elle, sans doute quand la langue ...
    ... effleure son clitoris. Elle sent aussi les mouvements du corps d’Armand entre et contre ses cuisses. Elle précise alors ses caresses sur les seins, les côtés, le ventre. Elle descend jusqu’au pubis, aux aines où le bout de ses doigts rencontre ceux d’Armand. Elle remonte ses mains, serre contre elle Clara qui commence à gémir, à se raidir de plus en plus, à respirer fort, à se tortiller pour aller à la rencontre des lèvres, de la langue du garçon. Elle serre ses cuisses autour du corps d’Armand. Elle sent les fesses de la fille contre son pubis qui se serrent, se resserrent de plus en plus fort. Elle regrette de ne pas être nue pour mieux sentir ce contact… Les vibrations qui remplissent le corps de Clara se répercutent dans son corps à elle. Elle sent une onde d’excitation et de plaisir la gagner. Une main sur un sein, elle serre Clara de plus en plus fort. Elle fait pression de son autre main sur le pubis, limite imposée par Sophie. Elle donne des à-coups pour aller à la rencontre de la bouche d’Armand comme si c’était elle qui recevait la caresse. Tous les muscles de Clara se bandent soudainement. Elle crie. Elle jouit. Léa voit dans la glace son visage déformé. On dirait qu’elle souffre. Elle se demande intérieurement pourquoi l’extrême jouissance s’exprime sur les visages et sur les corps de la même manière que la souffrance. Idée passagère qu’elle oublie vite. Clara se détend. Elle caresse doucement son corps. Léa est un peu déçue. Certes, elle ressent un grand bien-être, ...
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