1. Douce soirée


    Datte: 28/09/2019, Catégories: fh, ffh, hplusag, jeunes, inconnu, caférestau, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, init, initiatiq,

    ... raidit. Léa le regarde. Il a le visage défiguré. Il fait des efforts qui semblent insurmontables pour se retenir. Mais il a dépassé la zone de non-retour. Vite, Léa glisse de nouveau sa main sur le pubis de la belle, descend ses doigts, masse le clitoris au passage et atteint le sexe qu’elle sent gonfler. Armand se laisse tomber, donne de violents coups de reins… il jouit. Et sa jouissance entraîne celle de Clara. Encore plus violente que la précédente. Léa est au bord de l’extase. Elle veut se masturber pour arriver à ses fins mais ne peut atteindre son sexe. Alors elle serre les fesses, les sphincters… elle respire fort. Le garçon se rend compte de la situation et se retire. Léa plonge alors une main vers son sexe tandis qu’elle pénètre de l’autre le con de Clara rempli de sperme. Et elle les masturbe au même rythme. Les deux femmes crient en même temps de jouissance. Long silence. Repos. Retrouver son souffle. — Allons, Mademoiselle Léa. C’est très bien. Maintenant rhabillez-vous vite, nous devons y aller. Fin de partie. Wilfried arrête la voiture en double file. — Mademoiselle, allez sonner à la porte qui est là, la verte. Quand on vous répondra à l’interphone, vous répondrez « Nous sommes là ! » C’est tout. Et vous attendrez que quelqu’un vienne.— Mais… Qu’…— Mademoiselle ! Vous faites ce que je vous demande. Avec de nouveau de l’angoisse au ventre, Léa descend de la voiture. Qu’est-ce qui va se passer encore ? Elle pensait que c’était fini. Et voilà que Wilfried a un ...
    ... nouveau plan ! Elle en a presque les larmes aux yeux. Elle sonne. Attend quelques secondes et une voix rendue nasillarde par l’interphone répond. — Oui ? Qu’est-ce que c’est ?— N… Nous sommes là ! L’interphone est coupé. Comme demandé, Léa attend à côté de la porte. Enfin, celle-ci s’ouvre. — Oh ! Anne !— Ben oui ! Qu’est-ce que tu croyais ? Il ne t’a pas dit que vous passiez me prendre ?— Non. Et j’ai eu peur d’un nouveau traquenard, d’une nouvelle idée de sa part… Elles s’embrassent chaleureusement. — T’inquiète pas. Une idée, il en a une. Mais je pense qu’elle va te plaire. Et j’en suis.— Qu’est-ce que c’est ?— Chut ! Viens ! Il nous attend. Wilfried les accueille avec un grand sourire. — Ça va mieux, Léa ? Je vous sentais inquiète… Passez derrière avec Anne, vous pourrez vous faire des câlins le temps qu’on arrive à la maison. Elles ne s’en privent pas de ce câlin. Les lèvres se joignent, les mains se font indiscrètes, passent sous les vêtements. Léa constate vite qu’Anne est toujours les fesses à l’air sous sa petite jupe, ce dont elle ne se plaint pas. Ils se retrouvent tout en haut, au bout du couloir devant la porte que Léa commence à connaître. — Entrez, Mademoiselle. Léa ouvre la porte et commence à entrer. Mais elle s’arrête, interdite. Devant elle, nu, les jambes écartées, mains derrière le dos… Cédric est là. Elle se retient de pouffer de rire et en même temps, elle est heureuse de cette surprise. Anne et Wilfried rentrent derrière elle et il referme la porte. — ...
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