Le calendrier des pompiers...
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... vif d’esprit, se lève, avant de se rappeler qu’il a un gourdin qui l’en empêche partiellement ! « Puis-je vous demander un peu de musique chère Madame », fait le premier, toujours très grand siècle. « bien sûr ! », j’ai toujours un Otis Redding à portée de main, sa musique m’a toujours profondément troublé. Alors que les premières notes jouent, et sous l’impulsion de Tony (j’ai plus tard appris son prénom), mes deux beaux gosses commencent à se déhancher, l’un face à moi, l’autre plus timide de dos à moi, ce qui n’est d’ailleurs pas pour me déplaire. Quand même, à mon âge, deux beaux gosses qui me font un striptease, Jean me surprendra toujours… Alors que les T-shirts s’envolent, la température monte en moi et je ne cherche plus à cacher mon excitation à la vue de ces beaux pectoraux : mes mains sagement posées sur mes cuisses sont sensiblement remontées et alors que l’une d’elles poursuit sa route vers mes seins quasi libérés, l’autre entame une danse circulaire sur le fin tissu de mon short d’intérieur. Les ceinture claquent, les pantalons tombent, ils ont tous les deux un chapiteau dans le caleçon… Je relève alors mes jambes sur le canapé et tandis que d’une main j’écarte mon short deux de mes doigts s’infiltrent dans mon intimité maintenant ruisselante. Et comme une apothéose, ils font descendre simultanément leurs deux caleçons dos à moi, m’offrant la vue de 4 belles fesses bien musclées, puis se retournent d’un même mouvement, leurs deux jeunes sexes dressés vers moi. ...
... C’en est trop, je perds tout contrôle : passant mon caraco par-dessus mes épaules je me jette à leurs pieds et attrape ces deux colonnes de vigoureuse chair. On dirait que j’ai attendu ce moment toute ma vie : l’état d’excitation dans lequel je suis en témoigne, je coule littéralement alors que je sens vibrer ces deux colonnes de chair dans mes mains. Le mollusque a une queue effectivement assez longue mais plutôt fine qui pointe à l’horizontale tandis que Tony a lui un sexe plus court mais plus gros, qui lui touche presque le nombril. Je les caresse, les presse en les regardant dans les yeux, puis passe à coup de langue du bout d’une verge à l’autre en les regardant dans les yeux…..comme j’aime me sentir ainsi salope, une révélation ! L’excitation monte, j’engloutis maintenant une bite puis l’autre, en faisant de puissants allers/retours au fond de ma gorge pendant que ma main branle l’autre avec vigueur et j’alterne. Régis souffle et Tony me regarde d’un air narquois : « je vois que madame apprécie les services publics ! Allez salope, mets-toi à genoux sur le canapé ! » Ces mots me fouettent les sens et j’obéis immédiatement, m’appuyant sur le dossier du canapé, croupe offerte, alors que Tony vient se replacer devant moi et me redonne sa queue à lécher. « Baise moi cette bonne bourgeoise Régis, on n’est pas toujours si bien accueillis ! » Ni une ni deux, le mollusque m’enfile d’un coup jusqu’à la garde et touche mon utérus. « Aaaaaahhhh » arrive-je à peine à proférer, bouche ...