1. Un short LOVE, un short de pute. (6)


    Datte: 29/09/2019, Catégories: Trash,

    De retour chez moi, j’ai donc écrit à Carole pour l’informer du résultat positif de ma visite chez mon ami. Elle est en ligne et me répond aussitôt, me propose de dialoguer. Elle est connectée depuis des heures, lit des histoires et regarde des vidéos pornographiques, tout en se masturbant. Je déballe ma queue pour me branler moi aussi, et on se fait l’amour à distance, par messages interposés. On se chauffe l’un l’autre, on se fait jouir, une fois pour moi et plusieurs fois pour elle, et on termine chacun par une orgie solitaire que l’on se promet de recommencer en présence l’un de l’autre. On se quitte, ravis et épuisés: — A lundi ma chérie, bisous partout. Je raccroche dès ton bisou que j’attends. — A lundi mon bel amant, bises sur ta queue. Lundi, début d’après-midi, on se retrouve aux toilettes. Nos bouches se soudent, tandis que ma main glisse sous sa jupe et que la sienne se plaque sur ma braguette: — Hum, mais c’est qu’elle a oublié sa petite culotte la salope, tu ne veux pas perdre de temps. — Non, c’est trop long quatre jours sans ta queue. — Je vois ça, tu es toute mouillée petite pute. — Et toi tu bandes dur, salaud. Sors ta queue, je la veux dans mon cul. — Oui, de suite, mais d’abord je vais te baiser, elle est trop chaude ta chatte, elle a faim. — Oui, prends moi par tous les trous, je suis ta salope. On enlève le bas, elle sa jupe, et moi mon pantalon et mon slip. On revient l’un contre l’autre, je frotte mon gland entre ses lèvres ouvertes. Elles sont ...
    ... tellement glissantes que ma queue est comme absorbée pour se trouver profondément enfouie dans son vagin torride: — Salope, elle est en feu ta putain d’huître, il était temps que l’on se retrouve. — Oui, si tu savais combien je l’ai attendue ta grosse queue. Baise moi, encule moi, je te veux partout. — Je vais me le faire ton cul, mais c’est dommage d’abandonner ta chatte. Tu as amené une banane? — Oui, une belle, comme ta bite. Et toi, tu as apporté une capote? — Oui, comme prévu. Je vais m’en servir pour ce que tu sais, mais d’abord tu vas la mettre sur ta banane et te la fourrer entière entre les cuisses. Elle est tellement chaude qu’elle accepte sans rechigner. Je me retire, et ma bite est remplacée par ce gode improvisé. Elle dépasse un peu et je l’invite à la pousser davantage, la faire disparaître, lui assurant qu’elle ressortira toute seule et qu’au pire j’irai la chercher. Elle est hyper excitée, et obéit sans même réfléchir. Le fruit a disparu, et je la retourne pour la sodomiser. Je suis chaud moi aussi, autant qu’elle, et m’apprête à l’enfiler à sec sans la préparer. C’est un pied de biche que je me tiens, et elle n’a pas le temps de protester que je suis déjà en elle. Elle se retient de crier, puis s’habitue à la douleur vite remplacée par le plaisir: — Salaud, tu aurais pu me prévenir! — Excuse moi, j’ai fait comme avec Jean-Claude, il est toujours prêt ce salaud. — Ce n’est pas grave, c’est passé. Lime moi fort, défonce moi, je suis ta chienne. — Oui, prends salope, ...
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