1. Ma petite faiblesse


    Datte: 30/09/2019, Catégories: fh, copains, grosseins, intermast, Oral fdanus,

    Brun, élancé et légèrement mat de peau, Jean-Marc a ce mélange indéfinissable de classe, de charme et de désinvolture. Il est mon meilleur ami et même un peu plus que ça, il est… ma petite faiblesse. Jean-Marc habite un très bel appartement dans le 5ème arrondissement de Paris, au quartier Latin. Moi je suis dans le 13ème, je loge dans un petit studio proche du métro aérien. Nous ne sommes pas très loin l’un de l’autre et souvent lorsque je vais le voir, c’est à pieds que je me rends chez lui. J’aime me balader dans Paris et les vieilles rues du quartier latin si riches en souvenirs pour moi, sont toujours un plaisir, plaisir d’autant plus intense lorsque je vais le voir. À cette époque de l’année, nous sommes en février, il fait frais sur Paris, mais malgré tout le ciel est bleu et le soleil est bien présent. C’est très agréable. J’arrivai de bonne heure, car nous avions convenu de déjeuner ensemble. Lorsqu’il m’ouvre la porte, Jean-Marc n’est pas prêt du tout. Aussi je comprends qu’il m’attendait peut être un peu plus tard. C’est vêtu d’un kimono de soie qu’il me reçoit. Celui-ci, très léger et souple, accompagne ses moindres gestes et lui donne une allure audacieuse et sensuelle. Il m’embrasse sur la joue, et m’invite à entrer. Nous n’avions pas convenu de l’heure à laquelle je devais passer, mais au sourire espiègle qu’il affiche sur son visage, je devine qu’il avait l’intention de me recevoir dans cette tenue, histoire de voir la tête que je pouvais faire. Il m’indique ...
    ... la direction à suivre pour que je le précède et ajoute : — Je n’ai pas encore eu le temps de me préparer, comme tu peux le voir, mais, installe-toi et mets-toi à l’aise, j’arrive dans un instant. Je lui souris à mon tour d’un air amusé et lui réponds : — Pas de problème Jean-Marc, prends ton temps. Sympathique sinon, ta tenue, j’aime beaucoup. Il entre dans la salle de bain, se retourne et me fait face, tout en dénouant son kimono qui glisse à ses pieds et referme la porte en me souriant. Je n’ai pas eu le temps de voir grand-chose, mais tout ce que j’en ai supposé entre dans le cadre d’un jeu de séduction que nous avons lui et moi, de temps à autre et qui n’est pas pour me déplaire. Je prends un café, tandis qu’il prend sa douche et se prépare. Le temps est splendide, le soleil inonde la cuisine où je l’attends. Quand l’eau cesse de couler, je tourne la tête et je le vois sortir de la salle de bain nu cette fois, encore un peu mouillé, s’essuyant les cheveux avec sa serviette de bain. Bref, naturel, décontracté comme à son habitude, sans se soucier de mon regard féminin sur son anatomie masculine, humide, qui commence à susciter chez moi une certaine fringale. Alors qu’il entre dans sa chambre pour prendre des vêtements et s’habiller, je ne peux m’empêcher de penser que passer devant moi, à moitié nu ou totalement, est une provocation en bonne et due forme. Il sait que je vais réagir car j’aime ces jeux amoureux que nous avons parfois tous les deux, ils font partie de notre ...
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