1. Mais qui est donc Julie ?


    Datte: 30/09/2019, Catégories: fh, inconnu, vacances, hotel, douche, amour, volupté, Oral

    Cette année là, j’étais parti en vacance, seul. Je m’étais fait plaqué quelques semaines avant et je le vivais assez mal. Plaqué enfin, plus ou moins. Nath n’était plus la même. Elle avait changé. Je lui avais demandé : — Tu as quelqu’un d’autre dans ta vie ?— Oui Son visage s’était éclairé, j’étais parti et on ne s’était pas revus. Tous mes copains étaient en couple, certains mariés et je n’avais pas envie de jouer la troisième roue de la charrette. Je n’avais pas non plus envie de ces clubs de vacances "ouagadou" où l’on pratique beaucoup de sport, la drague étant le premier! Par contre, j’avais envie de partir. Je choisis donc un hôtel dans les montagnes, dans un coin de Suisse que je connaissais bien et où je pourrais à loisir me balader et probablement ruminer ma déception mais cela ce n’était pas avoué… Je suis arrivé en tout début de saison. Il n’y avait pas encore grand monde dans l’hôtel. Le soir dans le restaurant, il y avait quelques couples avec de jeunes enfants et deux personnes âgées qui visiblement venaient là depuis la nuit des temps. Je mangeais lentement mon potage en pensant à la ballade du lendemain quand je vis entrer Julie. Je ne savais pas encore qu’elle s’appelait Julie et je me demandais quel était son prénom. En la voyant, je repris goût aux femmes, et l’envie de drague me prit… Elle était superbe, enfin superbe suivant mes critères du moment; le contraire de Nath dans beaucoup de domaines. Elle avait des cheveux noirs longs et ondulés qu’elle ...
    ... avait repris dans une queue de cheval. Sa peau n’était pas très bronzée. C’était le début de la saison pour elle aussi et elle ne devait pas être une adepte ni du bronzage, ni du maquillage. Ses yeux bleu clair explosaient littéralement au milieu de son visage. Elle avait l’air sportive. Rien d’étonnant dans cet hôtel de ce trou perdu où la seule activité est la marche en montagne. Son pull moulant laissait deviner une poitrine bien ferme et remplissant honnêtement la main alors que son jeans ne cachait pas grand chose de la rondeur de ses fesses. En un mot "bandant". Durant le repas, j’avais du mal à ne pas la regarder. Elle mangeait seule à une table de quatre. À tout moment, je m’attendais à voir arriver son copain, le genre Apollon qu’elle regarderait avec des yeux langoureux. Mais non, rien, pas d’Apollon jusqu’au dessert. Je partis prendre le café au "salon". Un salon qui en résumé se limitait à une table basse avec 4 fauteuils et 2 canapés devant une vieille télévision. J’avais pris une carte de la région que je connaissais par coeur et que je regardais distraitement quand elle se planta devant moi avec son café: — Cela vous dérange si je m’assois?— Non pas du tout, au contraire.— Je m’appelle Julie, et vous?— Thierry. Vous êtes seule? Pourquoi avais-je posé cette question, je n’en sais rien et au moment même j’ai eu peur de sa réaction. Mais visiblement, le style direct était plutôt son fort: — Oui, ici comme dans la vie. J’attends une amie qui ne viendra que dans une ...
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