La vilaine petite sorcière 3 de 3
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
Humour,
Lesbienne
Première fois
... amie et pourtant avec elle, je n’avais presque pas hésité. Il ne lui avait fallu que 30 minutes pour me voler un baiser, me tripoter les seins et me sauter dessus dans mon lit. Pas croyable ! Et j’aimais tellement que je paniquais un peu, m’imaginant déjà préférer les filles. Moi, lesbienne ? Seigneur, sauvé moi !Et là. Je me sens fiévreuse, alanguie, heureuse, lui palpant les fesses avec force en frottant mon sexe humide contre sa cuisse comme une chatte en chaleur ; mes orteils se replient ou se dresses, je sens ses petits seins écraser sur les miens glissant de sueur, ses lèvres si douces et sucrées plaquer sur les miennes, nos langues qui ne cesses de se combattre, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. Toutes ses sensations m’étourdissent, me fascine, m’excite au possible et me donne juste le goût d’aller plus loin tellement je mouille couvrant sa cuisse de cyprine et elle la mienne. Toute fois, j’ai tout de même quelques réticences encore à l’idée de me retrouver le visage entre ses cuisses, de sentir l’odeur de son sexe, de le lécher ou d’y enfoncer des doigts ou la langue. Je ne suis pas certaine d’y arriver.Mais là, un doigt en avant dans sa raie, je ne peux m’empêchai de caressé son anus que je sens bosseler et moite de sueur. Toucher cet endroit si intime, celui d’une autre fille, m’excite encore plus. Je l’agace du bout du doigt, le tapote, la sentant frémir et l’y enfonce juste un peu. Elle lâche un gros soupir immédiatement. Son petit trou est très ...
... étroit chaud et humide et se contracte, j’aimerais trop quelle me fasse la même chose. Quand un garçon me fait ça, je perds la tête, mais au point d’y laisser glisser leurs bites, même si parfois, j’hésite avant de leur dire non. Ça me fait un peut peur je dois dire.Martine palpe toujours mes seins qui la fascinent avec frénésie puis, soudainement elle glisse sa main droite jusque sur mon pubis contre sa cuisse, dans ma toison noire très fournie. Ça me chatouille tellement que j’en frémis. Ses doigts s’y attardent un instant avant de descendre sur ma fente quelle presse fortement, puis tapote, puis frotte un doigt en avant et presse a nouveau, tapote a nouveau et frotte a nouveau a me rendre folle. C’est si bon que mes cuisses s’écartent en grand comme si je m’attendais à me faire pénétré. Sous le coup du plaisir intense que je ressens, mon doigt c’est un peu plus enfoncé entre ses fesses et je l’agite, le fait aller et venir. Nos soupirs et nos gémissements s’accentuent de plus en plus surtout qu’elle agace en même temps mon clitoris bandé et si sensible m’arrachant des grimaces de plaisir. Bon Dieu que c’est bon, bien meilleur que quand un garçon me touche le sexe, rien de comparable. J’en gémis dans sa bouche m’abandonnant complètement à cette fille que je connais à peine. Mes grandes lèvres sont toutes gonfler et bien ouverte, ma mouille coule jusque sur mon anus, ça aussi ça m’agace terriblement. Je ravale ma langue, me sentant essoufflé pour laissé ma bouche glissée sur son ...