1. Maud


    Datte: 01/10/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je m'appelle Maud L'année de mes dix ans, ma mère tomba gravement malade et fut hospitalisée. J'avais jusque là vécu une enfance heureuse, choyée par mes parents. Mon père avait des difficultés professionnelles et ne pouvait s'occuper de moi, il me confia donc à sa soeur pour les grandes vacances, en espérant que les choses iraient mieux à la rentrée. Je connaissais assez peu ma tante Olga et mon oncle Pierre, que nous voyions une ou deux fois par an. Ils avaient une fille, Germaine, plus âgée que moi de quatre ans, avec qui je jouais parfois, mais je ne la connaissais pas très bien, et elle me traitait un peu en bébé. Ma tante me faisait un peu peur, elle était grande et avait toujours une mine revêche. Son mari, Pierre, était plus petit qu'elle et il ne la contredisait jamais. Germaine avait encore grandi depuis la dernière fois que je l'avais vue. Elle ne m'accueillit pas avec grand enthousiasme, sans doute parce que, leur logement étant petit, je devais partager sa chambre dans laquelle ils avaient installé un petit lit pour moi, ce qui réduisait d'autant son espace vital. Le premier soir, quand je la vis passer sa chemise de nuit, je constatai qu'elle n'avait pas seulement grandi mais aussi beaucoup grossi; elle avait des bourrelets sur le ventre qui pendaient un peu, sans cacher toutefois la grosse touffe de poils de son pubis, mais surtout elle avait de gros tétons affaissés sous leur poids. Elle devait peser au moins le double de mon poids. Je m'arrangeai pour me ...
    ... déshabiller sans laisser voir mes fesses et mes bras maigrichons. La famille ne roulait pas sur l'or et la nourriture était chiche, j'avais toujours un peu faim. Je profitai d'un moment où le placard à provision était ouvert pour subtiliser un paquet de biscuit que je cachai ensuite dans le sac ou je rangeais mes vêtements. Je pensais avoir été discrète mais Germaine m'avait vue et, quand nous fûmes seules le soir pour nous coucher, elle se dirigea vers mon sac et en extirpa triomphalement le paquet de biscuits. Je blêmis et n'essayai même pas de nier - Je me demande ce que vas dire ma mère quand je lui montrerai ce paquet, murmura t elle. - Non, je t'en supplie, ne lui dis pas. - Tu connais ma mère, elle me tuerait si elle apprenait que je lui ai caché ça; et toi elle va te tanner la peau du cul avec le martinet. Je peux te dire qu'elle sait le manier, la dernière fois que j'y ai eu droit, je n'ai pas pu m'asseoir pendant une semaine! - Je t'en supplie, je ferai tout ce que tu voudras, ne le dis pas à ta mère, par pitié! J'avais les larmes aux yeux en imaginant ce qu'Olga allait me faire subir. Je me mis à genoux et saisis ses mains que j'embrassai, espérant sa clémence, mais elle les retira brutalement et me gifla . Germaine hésitait, le front plissé, semblant hésiter évaluer les possibilités qui se présentaient. - Je ramènerai le paquet, dis-je - Et ensuite tu prétendras que rien ne s'est passé; ça ne marche pas! Mais ma proposition sembla lui donner une idée, elle alla ouvrir ...
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