Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 5- la soirée avec Cathy
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... cordelette. Cette cordelette est tendue au maximum et fixée au radiateur, de sorte que je ne peux plus reculer mon bassin. Je suis cambré vers l’avant, ma queue bien présentée à ces dames. - voilà comme ceci tu ne peux plus nous échapper, on va pouvoir bien s’amuser, dit Cathy - viens je vais te montrer les jouets, lui glisse mon épouse. Elles s’emparent chacune d’un martinet et commencent par me tourner autour, je bande bien, elles me caressent la bite avec les lanières en cuir puis ma femme donne le départ de la correction. Elle me rougit les fesses, les cuisses et passe le relais à Cathy. Cette salope y va de tout son cœur et me fouette comme une pro, le dos, le cul, l’arrière des cuisses. - on va lui faire devant maintenant, évite le visage, tout le reste est autorisé. - La bite et les couilles ? demande Cathy - Tout je te dis, amuse toi il aime ça, dis nous que tu aimes esclave ! - J’aime ça mes maîtresses (je sais quoi répondre). - Tu aimes quoi, dis le (Cathy) - J’aime le fouet - Où ça , dis le esclave ! (Cathy) Ma femme me regarde, agréablement surprise par la fougue de sa partenaire de jeu. Elle renchérit : - oui esclave dis nous ce que tu aimes - j’aime le martinet sur mon cul et mon dos - et où on va t’en mettre maintenant, dis le, dis le ! (Cathy) - sur ma queue, mes couilles, merci maîtresses. Et c’est parti, Cathy se déchaîne sur ma verge et mes testicules avec le martinet, ma femme est derrière et me fouette le cul. Fixé au radiateur par mon sexe, les bras ...
... attachés en l’air et les jambes bien écartées je suis fouetté longuement par mes deux jolies tortionnaires. Malgré ou à cause des coups ma queue est raide comme jamais. De temps en temps Cathy s’arrête, saisit ma verge et tire dessus, la presse entre ses doigts. Elle crache dans sa main et me frotte le gland à toute vitesse. Ma femme la complimente : « tu es une vraie salope, continue, si tu as envie tout à l’heure on va le baiser. » Tout ceci est dit pour m’exciter davantage, elle le sait. Elles font une petite pause, reviennent avec une lanière de cuir et me ligaturent complètement la verge avec. Puis chacune prend une cravache et elles me frappent la tige, à tour de rôle. - tu crois qu’il pourra encore servir tout à l’heure, demande Cathy - ne t’en fais pas, il est habitué, n’est ce pas esclave. Qu’est ce qu’on dit à ses maîtresses ? - Merci mes maîtresses La cadence redouble, je grogne, les chocs dans ma queue, la lanière qui l’enserrent sont douloureux certes mais je suis au bord de l’orgasme. Elles me triturent en même temps les bouts de mes seins, me pincent partout et se marrent. Je suis en feu lorsqu’elles s’arrêtent enfin. - on va te laisser mariner un peu et décider de la suite des réjouissances, viens Cathy, on va boire un coup - je me réjouis déjà, j’ai plein d’envies, c’est génial, répond elle. Et elles me laissent là, ligoté, avec ma queue enserrée dans la lanière de cuir, ça serre fort, je ne débande pas. J’ai même envie qu’elles reviennent vite. Quelle salope ...