1. Ma voisine.


    Datte: 01/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... elle était encore pâle, ma voisine n’avait plus les yeux cernés par les pleurs et l’angoisse. Simplement vêtue d’un pantalon de toile et d’un T-shirt assorti, elle avait laissé ses longs cheveux dénoués et ramenés en une longue mèche sur le devant de son torse où je pouvais distinguer le renflement de sa poitrine… Sans arrière pensée, je la félicitai de son aspect et pour lui changer les idées, je lui proposai à aller dîner simplement dans un petit restaurant où j’avais mes habitudes, surtout lorsque je n’avais pas envie de mettre à cuisiner en revenant chez moi le soir… Je n’aime guère les plats préparés et les tenanciers étaient très sympathiques. Sans que je veuille la séduire, il m’a semblé tout au long de la soirée qu’Anne-Lise se sentait bien en ma compagnie… de mon côté j’appréciais qu’elle ait retrouvé sa bonne humeur, faisant preuve parfois de beaucoup d’humour. C’est bras dessous bras dessus que nous avons regagné notre immeuble où nous sommes parvenus après un petit quart d’heure de marche. Personnellement je me sentais bien… pour une fois, j’étais en compagnie d’une jolie femme, certes plus jeune que moi d’une dizaine d’années, et je n’avais d’autre envie que d’apprécier ces moments de tendre complicité. Lorsque nous sommes arrivés sur le palier Anne-Lise au lieu d’un « AU REVOIR » traditionnel m’a enlacé en me disant : • Nous n’allons pas achever la soirée ainsi… Tu es tellement gentil et prévenant… Je vais te dire MERCI à ma façon… Entre, je t’en prie… Comment ...
    ... refuser une telle offre mais j’avais des scrupules : • Tu sors d’une liaison avec un rustre… N’est-ce pas un peu tôt pour une nouvelle aventure ? • NON ! Bien au contraire, je sens que cela me fera du bien… pour une fois, un homme gentil et prévenant ! • OK ! Je veux bien… mais tu sais ce que nous nous sommes confiés… Dans sa chambre, c’est avec précipitation que nous nous sommes déshabillés mutuellement… en partageant des moments de tendresse et d’érotisme torride. Je découvrais désormais le corps longiligne d’Anne-Lise avec sa poitrine menue, ses hanches étroites et une toison pubienne aussi fournie que sa chevelure… Un joli brin de fille qui allait me changer de celles que j’affectionne particulièrement, c'est-à-dire des femmes aux rondeurs plus marquées… En deux temps, trois mouvements nous étions nus. Je l’ai prise dans mes bras, son dos contre moi, ma verge, dressée, victorieuse, se frottait entre ses fesses. Mes mains ont caressé sa poitrine menue mais ferme. Je l’ai tournée face à moi pour lui sucer les tétons. Elle a gémi doucement quand je les ai mordillés. J’ai pris sa bouche pour un long baiser profond où ma langue s’est enroulée autour de la sienne. Plaqué contre le mien j’ai senti son corps agité de petites secousses : les prémices d’une jouissance forte Désormais entièrement nus l’un et l’autre, nous sommes partis à la découverte mutuelle de nos corps… J’ai passé mes mains dans les longs cheveux d’Anne-Lise, allant découvrir les tétons des seins au travers des ...