L'initiation - Histoires de Sexe

L'initiation

... poitrine. Le reste de mon chemisier toujours fermé dans mon pantalon. Ça y est, j’étais là, dans cette voiture avec un pseudo-inconnu à me déshabiller et curieusement je n’avais pas envie d’arrêter. — Dégrafe-le. Je me suis exécutée, j’ai dégrafé l’arrière du soutien-gorge, passé une bretelle dans la manche et enlevé par l’ouverture faite quelques minutes plus tôt. — Humm, ils sont magnifiques.— Tu te moques de moi.— Non pourquoi ?— Je ne sais pas, disons que je n’ai pas eu souvent ce genre de compliments.— Tu plaisantes ?— Non. Il a avancé sa main doucement et l’a posée sur mon sein gauche. Il a caressé le mamelon en passant son index autour du téton puis en frôlant le téton qui était déjà tout érigé. Sa main est ensuite descendue jusqu’à prendre mon sein. Pendant ce temps, il avait le visage très concentré, sa respiration était saccadée et il me souriait régulièrement comme pour vérifier qu’il avait bien le droit de continuer. Puis il s’est mis à soupeser mon sein, en passant sa main dessous et en le levant. — Ça te gêne pas ?— Un peu.— Pourquoi, tu veux que j’arrête ?— Ils sont tombants.— C’est ce qui me plaît.— C’est vrai ?— Je t’assure, ils sont très excitants. Dis-moi que je peux continuer. Un geste de mon visage lui donna le feu vert. Un bruit se fit entendre au loin, une porte s’ouvrait et on venait récupérer une voiture. Louis referma mon chemisier par un bouton ce qui était plus discret mais ne cachait pas grand-chose de cette partie de mon anatomie. Quelques ...

... minutes plus tard, la voiture et son conducteur quittaient le parking. — Tu imagines qu’il t’aie vue ?— Tu crois ?— Non mais ça te plairait ?— Je ne crois pas.— Il faut qu’on y aille, on a déjà pris du retard. Sur ce, il m’embrassa tendrement et remit un à un mes boutons en me demandant de ne pas remettre le soutien-gorge. Il me dit qu’il serait très excité à l’idée de me savoir ainsi sous ma veste pour aller à ce rendez-vous. Pendant le rendez-vous, Louis me souriait souvent avec des regards sous-entendus. J’ai réussi à rester de marbre et à ne pas ouvrir ma veste afin de conserver cette image que tout le monde a de moi dans mon métier : une femme à poigne qui sait ce qu’elle veut et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Journée au bureau. Je n’ai pas été contacté par Louis. J’avais très envie qu’il m’appelle. J’ai tenté de le joindre à plusieurs reprises mais je n’ai eu que sa boîte vocale. J’ai eu des nouvelles de Louis, il m’a appelée ce matin. — C’est Louis.— Bonjour ça va ?— Oui, excuse j’ai eu tes messages mais j’étais en réunion sur le lancement du colloque dont je t’ai parlé et ça s’est terminé à pas d’heure.— Ça va alors, j’ai cru que tu ne voulais pas me parler.— Certainement pas après ce que nous avons vécu.— …— Tu es là ?— Oui.— Tu es gênée ?— Un peu.— Ça ne t’a pas plu ?— Si, c’est ce qui me gêne.— Ça me fait plaisir ce que tu me dis… Et avec ton mari ?— Quoi ?— Tu le vis comment d’avoir embrassé un autre homme ?— Ce n’est pas le problème, je crois que je le vis ...