1. Première nuit avec Solange


    Datte: 02/10/2019, Catégories: ff, hsoumis, intermast, Oral

    ... toi. Je ne pouvais m’empêcher de penser à ce que je faisais subir à Marc, et je me rendais compte que j’aimais ça, que le savoir à ma recherche décuplait mon excitation.. Dans le taxi, je me rendis compte que mon portable ne cessait de sonner. Marc, bien sûr. Je lui téléphonais, tombais sur le répondeur(il devait être en train de me laisser un message) et donc lui laissais moi aussi un message. "Salut c’est Anna, comme tu t’en doutes, je suis avec Solange, nous passons la nuit ensemble chez elle, je te téléphone demain vers midi". Le chauffeur de taxi ne put s’empêcher de lorgner dangereusement vers nous. Il réussit finalement à nous déposer devant chez Solange, et nous nous précipitâmes telles des sales gamines chez elle, impatientes de goûter finalement totalement à l’autre. Chez elle, elle désira d’un seul coup faire durer le plaisir, m’offrit un verre et commença à me faire visiter son immense appartement. Je n’en pouvais plus et décidais de prendre l’initiative. Je marchais devant elle, et à chaque nouvelle pièce, enlevais un nouveau vêtement, d’abord mon t-shirt, puis mes chaussures, enfin mon soutien-gorge. Je me retrouvai de nouveau dans le salon, parée uniquement de ma minijupe sous laquelle le string ne demandait plus qu’ à être arraché. Solange m’avait suivie pendant ce strip improvisé, feignant l’indifférence, commentant sa visite, mais ne pouvant s’empêcher de mater le tatouage sur mes reins. Nous étions face à face maintenant, je me débarrassai de la jupe et ...
    ... du string et, entièrement nue, la pris dans mes bras. Nous ne parlions plus, ce n’était plus nécessaire. Je déboutonnai sa chemise et passai ma main dans l’échancrure, caressant doucement les pointes de ses seins. Puis une de mes mains abandonna sa poitrine, et je déboutonnai lentement les pressions de son jean, puis, le saisissant à la ceinture, je le baissai, toujours en prenant mon temps, lui souriant, l’embrassant. Mais je stoppai à mi-cuisses, mes doigts sillonnèrent doucement l’intérieur de ces jambes libérées et ,soudain ,je saisis par les deux mains le col de la chemise. Je la lui retroussais le long des bras mais la laissais au niveau de ses poignets qui se trouvèrent ainsi entravés. Je lui embrassais goulûment le cou, lui léchais la gorge, le creux des épaules. Je la coinçais ensuite contre le bar américain. Son jean hyper moulant baissé jusqu’à micuisses et la chemise retroussée lui empêchaient tout mouvement. Je me plaquai contre elle, fouillant sa bouche de ma langue tandis que ma main massait son entrecuisse. Comme je fus sa chose hier, elle devenait la mienne ; j’accentuai la pression puis un doigt s’immisça entre les lèvres et força le passage ; sa réaction fut immédiate, elle râla de plaisir. Au bout de quelques secondes, je la retournai et massai son magnifique fessier, ma main droite remonta doucement sa raie, frôlant délicatement ses parties les plus intimes. Je m’agenouillais et embrassais l’un des plus beau culs qu’il m’ ait été donné de voir. C’était ma ...
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