Randonnée sportive (2)
Datte: 07/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Je peux me joindre à vous ? C’est inattendu, Charles regarde Laurence, elle est là dans son jogging qui lui sert de pyjama, confiante et sure d’elle-même. Charles n’a pas le temps de répondre, Flo qui était partie dans l’orgasme qui commençait s’est reprise, elle aussi regarde Laurence, roule ses reins pour mieux dégager le sexe de Charles qui la pilonnait. C’est elle qui répond, encore tout excitée et remplie de désirs insatisfaits par ce coït qu’elle a interrompu : « Oui, j’ai très envie de toi, Charles aussi je crois, installe un lit devant le feu, on arrive, te déshabille pas surtout ». Laurence s’exécute, débarrasse devant le foyer, installe des tapis de sol, se tient debout en attendant, tranquille, contemplant le feu. Charles, lui, est entre deux états…. Entre la colère de ne pas avoir été consulté, et l’excitation maximum devant la perspective de baiser les deux femmes ; il reprend Flo, glisse sa bite entre ses cuisses, dans la fente et lance de grands coups de reins, de rage, il mord l’épaule de Flo : « Tu aurais pu me demander mon avis ». Elle crie, mais elle a aimé. « Brute ! J’espère que tu va la baiser comme ça… tu avais envie d’elle quand tu l’as regardée, tu étais fasciné par son dos, et elle me tente, c’est la situation parfaite, il y a même son mec, Louis, qui dit rien et qui reste dans le noir, en voyeur, ça t’excite pas de la baiser devant lui ? ». Elle parle fort, sans chercher à atténuer la portée de sa voix. « Vas-y, tu as cinq minutes pour faire ...
... connaissance, le temps que je me finisse en vous regardant, vas-y, mais la baise pas, laisse moi goutter son con avant ». Charles ne reconnait plus du tout sa Flo, mais il se lève. Vu par Laurence, dans la lueur du feu qui continue de brûler dans la cheminée, il apparaît comme le mec dont elle a envie. Sa queue à moitié dressée, grand et athlétique, elle finit de fondre. Le cri de Flo l’a excitée, elle se sent comme une femelle en chaleur. Elle est mouillée comme ça lui est rarement arrivé, au point qu’elle va mouiller son jogging. Charles arrive devant le feu, se place derrière elle, sa queue dans le creux de ses reins, ses mains sur ses petits seins. Il les prend et les écrase entre ses main, pousse sa bite contre elle : « Je vais tout prendre, je veux tout, tous tes trous. Je t’ai regardée te changer, tu nous tournais le dos, mais c’était pour montrer ta croupe, comme une femelle qui veut attirer les mâles, je voyais ta fente dans la lueur du feu… si Flo ne m’avais pas demandé d’attendre j’aurais sauté sur toi, je t’aurais collée au sol… et je serais en train de pilonner ton con comme une brute, … mais tu ne perds rien pour attendre ». « J’espère ! C’est de ça que j’ai besoin, je suis affamée, ma petite chatte est affamée ». Charles entreprend d’ouvrir la veste du jogging, pose ses mains sur les seins nus, frotte sa bite, mordille la nuque : « Sens comme tu me fais bander », ses mains glissent sur l’estomac, sur le ventre de Laurence qui se creuse quand les doigts de Charles ...