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Soumission naturelle (5)
Datte: 02/10/2019, Catégories: Transexuels
... fesses de temps à autre. J’étais vraiment à sa merci, à sa disposition et ça c’était une sensation que j’adorais. Au bout de 15 minutes je l’ai senti se contracter et une claque magistrale est venue s’écraser sur une de mes fesses puis il s’est vidé en moi, il m’a balancé la purée. Il venait de me féconder pour la journée. Je me sentais sa poupée gonflable du solitaire, la chèvre du légionnaire mais je me sentais bien. Il m’a collé un gros tampax dans le cul car comme il m’a dit "il fallait que je garde sa semence en moi’. Mes conditions de vie chez lui étaient fort acceptables et je ne regrettais pas du tout d’être venue vivre dans son bel appartement spacieux. C’est le ventre plein de mon petit déj et rempli de la semence de mon homme je suis repartie dans ma chambre. Je me suis allongée sur mon lit et me suis endormie toujours avec la Gaule. Vers 13h Thierry a frappé à ma porte, je lui ai ouvert et quelle ne fut pas ma surprise et ma honte de le voir en galante compagnie. Il m’a dit -"je te présente Marie elle est lesbienne mais aimerait se faire féconder, mais elle n’accepte de se faire que féconder que par une fiotte travestie bien membrée". -"Jusqu’à maintenant tu étais ma pouliche j’étais ton étalon, aujourd’hui pour l’après-midi tu vas être l’étalon de Marie" Il est vrai que voilà bien longtemps maintenant je prenais très grand plaisir à pénétrer et honorer une femme; je prenais ...
... d’autant plus de plaisir quand elle était belle, comme Marie. Marie était grande et belle, jamais je n’aurais crû une seconde qu’elle était gougnotte; c’est sa compagne qui devait avoir de la chance. Elle était on ne peut plus féminine du haut de son mètre 75 me semble-t-il, perché sur ses petits escarpins, avec sa petite jupe son petit caraco et son chemisier par-dessus elle était bandante. Thierry m’a expliqué qu’il allait nous quitter et qu’il allait aller dans sa famille pour l’après-midi. Je me suis donc retrouvée seule face à cette femme fort désirable que j’allais devoir honorer et surtout féconder, si tout marchait bien. Une fois la porte fermée et nous retrouvant tous les deux dans la chambre, Marie est allée s’asseoir sur mon lit a écarté les jambes, m’a fait agenouiller entre ces dernières pour que j’aille le brouter le minou. Pour mon plus grand plaisir je me suis exécutée d’autant plus que cela faisait bien longtemps que je n’avais pas brouté un minou et surtout un aussi beau minou. Marie ne portait pas de culotte elle, avait les jambes gainées de bas nylon le tout accroché à un porte-jarretelles assez large mais très doux. Son petit gazon sentait bon la femme, son petit gazon sentait bon le désir, son petit gazon était bien entretenu; il appelait l’homme à bras ouverts... J’avais ma tête cachée sous la jupe d’une femme et ma langue venait de se poser sur ses lèvres intimes.