Tala
Datte: 03/10/2019,
Catégories:
fh,
couleurs,
amour,
Oral
pénétratio,
sf,
fantastiq,
amourpass,
... bout de longues minutes que nos lèvres se séparent, elle est haletante, comme si elle avait longtemps couru. Je n’en vaux guère mieux, mais je suis profondément heureux. Elle me regarde de ses grands yeux verts : — Tu m’as fait quoi là !? C’est quoi, cette chose !?— Le désir… C’est ce qu’on éprouve quand on tient énormément à quelqu’un.— Je tiens à beaucoup de personnes, mais c’est… la première fois que je ressens ce… cet effet ! J’ai lu beaucoup… beaucoup de choses, mais rien de pareil !— On n’apprend pas tout dans les livres. Sur Terre, nous pensons que, idéalement, chaque femme correspond à un homme, et vice-versa. Qu’ils sont comme complémentaire, liés l’un à l’autre par un fil rouge…— Un fil rouge ?— C’est une image. Je tiens beaucoup à toi, même de trop… Et, tu vois, je… Elle me coupe la parole : — Recommence !— Quoi ? Ma phrase ?— Non, ce que tu m’as fait juste avant ! Je m’exécute avec joie ! Je recommence de plus belle, en plus fiévreux, en plus passionné. Je me lâche totalement à la désirer, l’embrasser, la lécher, la mordiller. Elle apprend vite, reproduisant sur moi ce que je lui fais subir. Si, au début, elle est un peu maladroite, elle se perfectionne très vite ! C’est à présent tout son magnifique corps doré que je couvre de baisers, de caresses, de frôlements, de câlineries, sans oublier la moindre parcelle de ses bras, de ses jambes, de sa poitrine, de son visage. Visiblement, elle adore, elle se laisse faire telle une chatte avide de tendresse, m’aidant ...
... même en positionnant au mieux sa divine anatomie. Je dévore ses seins, je les câline, mordillant ses tétons dressés. Je niche mon nez dans sa poitrine, respirant ses parfums, je descends sur son ventre si mignon, tout en la griffant délicatement des aisselles aux hanches. Elle frémit, se cabre. — Encore… est un mot qu’elle dira encore très souvent. Et je ne désire pas la décevoir à ce sujet. J’ose aller encore plus bas, vers un petit mont glabre, un petit mont qui amorce une vallée… Je dépose mille baisers sur son pubis, savourant sa peau. Enfiévré, j’en mordille même la rotondité avant d’aller m’égarer vers ses cuisses si fraîches, si douces. J’ai alors une vue imprenable sur ses petites lèvres intimes déjà légèrement entrouvertes et luisantes. Je n’y résiste pas, je plonge ma langue dans sa fente pour aller cueillir sa cyprine. Le goût en est différent, très sucré, et plus gélatineux. Très vite, avec satisfaction, je constate que le grand Dieu créateur d’ici n’a pas changé grand-chose concernant l’anatomie secrète féminine, du moins en surface. Un peu plus haut, beaucoup plus caché, je découvre un mignon clitoris que je me fais un plaisir d’aller dénicher hors de sa cache. Elle se cabre, elle agrippe mes cheveux, gémissante, consentante. Avec délectation, j’entame un lent et savoureux cunnilinctus, alternant agaceries et caresses. Elle frémit de tout son corps tendu. Parfois ses jambes ont des spasmes. Souvent ses doigts s’enfoncent douloureusement dans mes cheveux. Mais je ...