Tala
Datte: 03/10/2019,
Catégories:
fh,
couleurs,
amour,
Oral
pénétratio,
sf,
fantastiq,
amourpass,
... parfois non.— Et ça justifie qu’elle aille risquer sa vie dans la montagne alors que vous saviez qu’il y aurait un ouragan ?— Elle a pu s’en sortir, elle a donc démontré qu’elle était quand même un peu des nôtres. Et puis, qu’as-tu à te soucier d’une des presque-nôtres ?— Je ne sais pas si vous le faites exprès ou si vous êtes vraiment comme ça, mais moi, j’ai à me soucier de Lanu !— Tu m’étonneras toujours, petit extérieur. C’est alors qu’elle intervient : — C’est Alekese qui m’a aidé alors que je m’étais foulé la cheville.— Nous le savons déjà. C’est bien ce que je disais : cet extérieur m’étonne. Il se tourne vers moi : — Pourtant, tu aurais pu simplement la laisser là, tu es un extérieur, elle est une demi-Talayenne, vous n’êtes rien l’un pour l’autre. Pourtant, tu as fait de ton mieux, nous avons tout vu.— Comment ça, tout vu ?— Nous le savons, c’est tout. Nous l’avons vu, ressenti par Lanu.— Attendez un petit peu. Vous êtes en train de me dire que vous saviez tout et que vous n’avez pas levé le petit doigt ? Même pour venir en aide à l’une des vôtres ?— Elle n’est pas vraiment des nôtres, elle est différente. Je serre les poings : — Lanu est des vôtres quand ça vous arrange !— Tel est le Kali. D’un bond, je me précipite vers l’Ancien et je lui balance le plus beau direct du droit de ma vie. Il décolle littéralement du sol pour aller ensuite se fracasser dans la poussière. Personne autour ne bouge, un silence abasourdi et pesant s’installe. D’un pas ferme, je me ...
... détourne, je capture le poignet tremblant de Lanu, et sans personne ne nous en empêche, nous quittons les lieux. --ooOoo-- Je décide alors de prendre les choses en main, je commence un peu à saturer. Lanu et moi, nous nous installons dans une petite île au centre de l’archipel, là où il y a un ancien poste avancé et abandonné de mon entreprise. Comme j’ai un pass de niveau 5, je n’ai aucun problème pour en prendre possession. Le temps de tout mettre en place, de faire aussi quelques folies de nos corps assoiffés l’un de l’autre, trois jours plus tard, je me pointe au siège social, avec une idée bien arrêtée dans la tête. — Alekese chéri, n’en fais pas de trop quand même !— Je ferai ce qu’il y a à faire. Ne t’inquiète pas, mon amour, je serai sûrement de retour en fin d’après-midi. Je l’embrasse, son baiser m’électrise, son corps se coule au mien, je n’ai franchement pas envie de partir, j’ai même une furieuse envie de lui faire l’amour sur place ! Mais il faut que je parte : plus vite fini, plus vite tranquille ! Je la vois devenir de plus en plus petite au fur et à mesure que je m’éloigne. Mais voilà, ma réputation m’a précédé, cette histoire de Loki aussi. On en parle dans tout l’archipel, dans ceux d’à côté, et même dans ceux d’à côté de ceux d’à côté. Nous sommes, Lanu et moi, des célébrités, les seuls et uniques Lokis vivants, et de surcroît, pas très conformes aux morphologies et conceptions locales. Les Dieux avaient visiblement changé de camp pour admettre pareille chose ! ...