1. Une soirée de réveillon trés spéciale


    Datte: 07/09/2017, Catégories: fh, ff, ffh, 2couples, grp, hplusag, jeunes, inconnu, copains, boitenuit, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe init, journal,

    ... vers moi et me demande : — C’est la première fois ? J’acquiesce, et elle me donne le plus précieux conseil à connaître pour aller dans ce genre de lieu : — Tout est possible, rien n’est obligatoire, avec un petit clin d’œil plein de malice. « Rien n’est obligatoire… » Les femmes s’amusent en lisant le menu ; elles plaisantent sur la tournure des formulations : — Amuse-bouche, c’est intéressant…— On a faim ! lance une autre à la cantonade avant que sa camarade lui intime d’être plus discrète. L’ambiance est bon-enfant. L’homme en face de moi est psychiatre ; il a un air malicieux. Il commence à se tramer quelque chose sous la table car les deux amies qui l’entouraient ont soudainement disparu. Il se contient comme il peut en fermant les yeux. Lorsqu’elles réapparaissent, elles se lèchent les babines. — Amuse-bouche : c’est écrit sur le menu, dit l’une d’elles en riant comme pour se justifier. Lorsque les entrées sont servies, on entend un soulagement collégial dans la salle ; le service a tardé. Les plats sont bons : saumon fumé, foie gras, volaille fondante ; c’est un régal. Puis vient le moment du spectacle de magie. Un jeune homme plein de trac fait son entrée sur la scène en fond de salle ; aussitôt les déchaînées de ma table se lèvent et se mettent à hurler en pouffant de rire : — À poil le magicien !— Chut, les filles, voyons… Le psychiatre reste toujours posé, sourire aux lèvres, yeux mi-clos mais toujours étincelants. Le pauvre jeune homme se met à rougir et à ...
    ... bafouiller, mais il poursuit son numéro comme il peut. Le patron vient à notre table ; tout le monde s’est calmé autour de moi. Il parle du respect pour les artistes. — On va être sage ! lui dit ma bonne fée en inspirant la confiance. Les tours s’enchaînent ; on applaudit quand il faut en finissant nos glaces, on attend la fin car, après le dîner, la piste de danse sera ouverte et alors… les coins « câlins » aussi. Jérôme n’attend pas ; il me prend par la main et m’entraîne avec Élisabeth dans le couloir. On s’échappe pour monter à l’étage avant qu’il n’y ait trop de monde. Jérôme va directement dans l’espace bleuté derrière les rideaux. On se retrouve tous les trois sur le grand lit. Il y a un homme seul qui reste à distance derrière le rideau. Jérôme commence à nous regarder toutes deux comme s’il attendait que nous fassions quelque chose. Élisabeth lui dit encore une fois qu’elle n’aime pas les filles. — Je peux quand même retirer tes bottes ? Elle accepte. Jérôme se met à sa portée quand j’aperçois l’homme ouvrir le rideau pour venir voir plus près. Il semble du même âge que les autres, en costard soigné. Ne sachant comment m’y prendre pour lui faire entendre qu’il n’est pas le bienvenu, je me tourne vers Jérôme en qui je cherche une protection, mais il est à cet instant trop occupé. J’essaie de m’interposer quand je vois la main de l’incruste sur le mollet de ma complice ; je n’ai pas su me souvenir du précieux conseil ni trouver comment le repousser. J’agis en me dévouant sans ...
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