Ma femme fait " Jacquie Michel" ! (1)
Datte: 04/10/2019,
Catégories:
Trash,
... amoureusement, en pinçait les tétons, tirait sur les pointes … Puis sans pudeur aucune, elle faisait glisser le string le long de ses jambes gainées de soie, pour présenter avec impudeur son sexe à la toison bien taillée, blond vénitien. Alors sous les hourras des hommes présents, elle descendait de la table, passait entre ces messieurs, qui subjugués et excités commençaient à l’entourer, la caresser partout. Des dizaines de mains prenaient possession de ce corps qu’elle réservait à mon seul usage jusque là. Alors elle commençait à gémir sous toutes ces caresses insistantes sur ses seins, son sexe, ses fesses. Des doigts fureteurs venaient prendre possession de sa fente gorgée de jus d’amour, son petit trou déjà dilaté par l’excitation. Puis au summum de son excitation, elle demandait à ce que tous la baisent sauvagement. Des bras puissants la soulevaient de terre pour la placer dos sur la table, les jambes bien écartées, pendant sur le sol. Elle exigeait que je vienne juste à coté d’elle pour être aux premières loges, de tous les doux supplices que tous ces hommes allaient faire subir à ma femme, chérie et jusque là très fidèle et honnête, trop sans doute… sous peine d’une séparation brutale et définitive si je n’obtempérais pas à ses ordres. Alors, moi jouant le rôle du mari humilié par son épouse, désespéré de la voir me faire cocu par tous mes amis et de parfaits étrangers, je restais debout, lui prenant les bras pour l’entraver et l’offrir à la convoitise des mâles ...
... lubriques qui chacun leur tour, parfois deux en même temps, venaient se régaler de plonger leur engin dans tous les trous généreusement accueillants de mon épouse, désormais volage et disponible, devenue femme publique. Entre deux assauts des mâles et entre deux spasmes de jouissance elle me regardait le vice et la lubricité dans les yeux, me demandant : « Alors tu bandes de voir ta femme transformée en putain ? Jouer la petite salope… je ne suis plus qu’un trou à bites, un vide- couilles, une trainée…tu regrettes ou ça t’excite ? » Une fois tous les mâles repus, et son corps souillé de multiples trainées de sperme, ses orifices en débordant généreusement, elle me demandait son manteau dont elle ne recouvrait que son dos, sans le fermer, toujours seins et pubis exposés aux regards, et traversait la meute d’hommes vers notre voiture, sous les applaudissements de l’assistance, avec derrière, moi, le petit mari cocu qui avait ramassé ses effets personnels et la suivait piteusement, pour la forme. Car j’avais jouis plusieurs fois sans me toucher de voir mon épouse si prude si honnête, se transformer en une véritable salope : la petite pute d’amour de son mari. Je regagnais notre voiture des étoiles plein les yeux, remerciant la Divine Providence de m’avoir permis de réaliser l’un de mes plus gros fantasmes ! Malheureusement cela reste du domaine du rêve pour l’instant… Alors suite à l’épisode du visionnage de « Jacquie Michel », qui a eu lieu il y a environ un mois, voici le scénario ...