1. Professeur, mais pas maîtresse - Partie 2


    Datte: 05/10/2019, Catégories: ff, fff, fplusag, profélève, école, toilettes, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fouetfesse,

    ... cinquante centimètres. Bizarrement, des images lointaines de mon maître d’école montrant des cartes ou le tableau me reviennent en mémoire. Peu après, elle est derrière moi. Sa main tire sur mon slip qu’elle descend jusqu’à mes chevilles ; mes pieds se lèvent et mon boxer disparaît dans ses mains. Il réapparaît peu après sous mon nez, accroché au bout de la règle. Elle me frotte le visage avec. — Regardez comme il est trempé… Mais qu’est-ce que vous avez dans la tête pour vous mettre dans des états pareils ! C’est de donner des cours dans une tenue indécente qui vous fait cet effet ? Je n’ai pas le temps de confirmer cette hypothèse ; j’entends comme un sifflement, et le bruit sec du plat de la règle s’abattant sur mes fesses cambrées retentit. Le plaisir qui s’ensuit est largement supérieur à la douleur pourtant probable. Sous le coup, ma tête se redresse et mes mains se crispent sur les accoudoirs. Mes yeux s’égarent sur une des fenêtres du bureau donnant sur un espace vert ; à travers la vitre, j’ai la surprise de voir deux visages bien connus : Suzie et Marion sont là, à espionner ce qui se passe. Le spectacle doit les ravir. Nouveau sifflement, nouveau claquement sur mon cul, nouvelle onde de plaisir qui me traverse. Sous l’impulsion, mes seins ballottent sous moi. La règle, maniée d’une main de maître – ou plutôt de maîtresse – continue son œuvre ; mes gémissements de plaisir, et non de douleur, emplissent le bureau. Je sens le gras de mes fesses trembler sous la ...
    ... puissance des coups. Voir la tête des deux filles assistant à ma punition ne fait qu’exacerber ma jouissance. Le fruit de cette jouissance est en train de dégouliner le long de mes cuisses, mon sexe crachant mon jus intime à profusion. — Voilà : vous êtes fin prête, maintenant. Prête à quoi ? Deux mains s’emparent de mes fesses rebondies et les triturent sauvagement. Je sens alors une présence entre mes cuisses. Quelques secondes plus tard, ce que je reconnais comme une langue fouille mon sexe ; une bouche suce mes lèvres gonflées, les aspire. La langue s’enfonce en moi, se déchaîne sur mon clitoris. Une jouissance totale me submerge, je hurle de plaisir à en perdre le souffle. Je m’écroule sur le dossier, haletante, les jambes coupées. Je repose là comme si j’étais une vulgaire nippe jetée sur ce fauteuil par une main inconnue. — Relevez-vous. Péniblement, je me redresse ; le plaisir passé, il ne me reste que des fesses cuisantes et un peu piquantes. La directrice est devant moi ; elle s’essuie le visage avec mon sous-vêtement. Je suis devant elle, la poitrine à l’air débordant par-dessus mon bustier, la jupe toujours enroulée autour de la taille et le sexe à nu. Se frottant toujours le visage, elle tend la main vers ma poitrine, s’empare d’un téton toujours aussi démesuré, le tire et le triture un bref instant. Puis elle va vers son bureau, mon sous-vêtement en main, et me fixe un long moment. Je n’ose pas bouger ; elle prend son pied à me voir ainsi à moitié nue sous ses yeux, ...