1. Laétitia l'oie blanche devient une bonne salope


    Datte: 05/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Lorsque j’ai connu Lætitia a dix neuf ans elle était vierge, moi a vingt je ne l’étais plus depuis mes dix sept ans, mais sans connaitre grand-chose aux positions et même je peux dire que je n’avais jamais mangé de chatte, seulement quelques fellations ‘arrachées’ a des filles de passage et bien sûr quelques prostituées Elle m’a fait attendre six moi et une promesse de mariage avant de me céder après un après midi de plage en maillot de bain deux pièces, juste une heure avant de partir a ma demande elle a daigné enlever le haut, sans doute chauffée par cet acte qu’elle pensait incroyable de sa part, nous nous somment réfugiés dans une pinède prés des parkings Je dis que Lætitia était chauffée par cet acte mais je dois dire que moi aussi lorsque j’ai remarqué que des hommes mariées ou non louchaient sur ses seins blancs m’irritait car j’étais très jaloux et en même temps m’excitait de penser qu’ils pouvaient la ‘convoiter’ Je l’ai prise fougueusement sur un matelas d’aiguilles de pin, juste protégés par une serviette de bain, elle s’est donnée totalement, j’avais déjà eu la permission de lui caresser le sexe dans une salle de cinéma, dans cette condition pas possible de voir entre ses cuisses ne serait-ce que pour mater ses poils pubiens qui étaient très mouillés mais là c’était un vrai torrent qui déferlait dans sa toison blonde comme les blés, je l’ai prise deux fois de suite avant de nous laver sobrement a l’aide du reste de notre bouteille d’eau… j’ai omis de lui dire ...
    ... que j’avais entendu des branches craquer … Ma déception a été grande lorsqu’elle a refuse de baiser le weekend suivant devant mon amertume elle a cédé, il faut préciser que nous nous voyions que le dimanche après midi a cette époque là, ensuite tous les weekends nous passions l’après midi du dimanche a découvrir tous les préliminaires possible et des positions différentes , un jour, dans son village, le bruit a couru qu’un voyeur assistait a nos ébats, vu le peu de crédibilité que les gens accordaient a cet homme la chose est passée inaperçue, mais nous avons appris a prendre plus de précautions, cette nouvelle nous a plutôt échauffés les sens … Un an plus tard mariés et chez nous, nous nous donnions à corps perdus, a peine en voiture pour aller nous balader nous nous posions la question, a quoi bon brûler inutilement du carburant ? Nous rentrions pour baiser comme des dingues, Lætitia à mon grand étonnement devenait de moins en moins prude - Bruno chéri, touche …. - Mais tu n’as pas de culotte ? - Et pas de soutient gorge, ça ce voit ? - Non - Alors pourquoi s’en priver ?! - Et ça te fait mouiller ! - C’est pour toi mon amour - Allons-nous balader dans le grand parc de la colline - Bonne idée De savoir qu’elle était nue sous sa robe me faisait bander, nous avons pris un sentier qui nous paraissait désert pour donner libre cours a nos fantasmes, ma main qui enserre sa taille descend lentement sur ses fesses, puis petit a petit je fais remonter le tissu afin de toucher sa chair ...
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